( 22 décembre, 2008 )

Lansana Conté-Décédé

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 Lansana Conté-Décédé

Lansana Conté, né vers 1934[n 1] à Moussayah Loumbaya dans la région de Kindia  
Décédé le 22 décembre 2008 à Conakry, est un homme politique guinéen, président de la République de Guinée de 1984 à sa mort en 2008.

D’origine soussou, il intègre l’armée française en 1955, et participe à la guerre d’Algérie. Promu lieutenant, il défend le régime dictatorial d’Ahmed Sékou Touré. Dix ans plus tard, il est élu député du Parti démocratique de Guinée (PDG, parti unique).

Parvenu au grade de colonel, il participe au coup d’État de 1984, une semaine après la mort du « père de l’indépendance de la Guinée », Sékou Touré. La junte, dénomée Comité militaire de redressement national (CMRN), porte Lansana Conté à la tête du pays.

Libéral et nationaliste, il privatise les entreprises publiques, réduit le nombre de fonctionnaires, et dote la Guinée d’une nouvelle Constitution qui autorise le multipartisme. Devenu général, il est officiellement élu président de la République en 1993, et largement reconduit en 1998 et 2003, grâce à une modification constitutionnelle. Malgré les restrictions des libertés et les menaces, l’opposition critique ouvertement ces scrutins, qu’elle estime truqués, et qu’elle boycotte par la suite.

À la fin de sa présidence, alors que la situation économique et sociale continue de se dégrader, Lansana Conté doit affronter plusieurs révoltes, réprimées dans le sang, ce qui le contraint à négocier avec les syndicats. Victime de plusieurs tentatives de renversement et d’assassinat, il décède des suites d’une « longue maladie », après 24 ans de pouvoir sans partage. Sa mort est suivie d’un coup d’État qui renverse la IIe République qu’il avait instaurée.
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Origines, formation et carrière militaire
Fils d’agriculteur, Lansana Conté est issu de l’ethnie des Soussous. Il entre à l’école des enfants de troupe de Bingerville (Côte d’Ivoire) en 1950, puis à celle de Saint-Louis (Sénégal) ; il effectue ensuite ses classes au peloton de Kayes (Mali).

En 1955, il entre dans l’armée française, et est affecté en Algérie pendant la guerre d’indépendance, en 1957. Après son service militaire, il retourne en Guinée, qui est devenue indépendante de la France le 2 octobre 1958 : il intègre alors la nouvelle armée avec le grade de sergent. Transféré au 2e bataillon d’artillerie, il est promu lieutenant en 1965. Le 22 novembre 1970, lorsqu’un groupe d’exilés guinéens envahit le pays à partir de la Guinée portugaise, dans le but de renverser le gouvernement du président Ahmed Sékou Touré, il participe à des opérations visant à défendre la capitale. Après que les forces pro-gouvernementales parviennent à stopper l’invasion, Lansana Conté est promu, le 27 février 1971, au grade de capitaine pour « service rendu à la nation », et jouit de la réputation de militaire courageux[9]. En 1973, il est nommé commandant de la région militaire de Boké (nord-ouest de la Guinée) afin d’aider le Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC), mouvement de guérilla indépendantiste, dans le pays voisin, la Guinée portugaise.

Chef d’état-major adjoint de l’armée de terre à partir de 1975, puis chef de la délégation guinéenne au cours des négociations censées régler un différend frontalier avec la Guinée-Bissau en 1977, il est élu à l’Assemblée nationale en 1980, sur la liste unique du Parti démocratique de Guinée (PDG). Deux ans plus tard, élu membre du comité central du PDG, il est promu colonel.

Prise de pouvoir 
Le 26 mars 1984, Ahmed Sékou Touré, le « père de l’indépendance », meurt à Cleveland lors d’une opération cardiaque et l’unique parti de l’époque, le Parti démocratique de Guinée (PDG), sombre dans de violentes querelles de succession.

C’est dans un contexte de déclin et d’incertitudes qu’une semaine plus tard, le 3 avril 1984, un coup d’État militaire dirigé par le colonel Conté renverse le président intérimaire, Louis Lansana Beavogui. La junte, dénomée Comité militaire de redressement national (CMRN)[n 2], porte alors son leader au pouvoir[6], qui est proclamé président de la République deux jours plus tard, alors que vient d’être instituée la IIe République.

Le nouveau chef de l’État dénonce le régime de Sékou Touré s’engage à établir un régime démocratique, à sortir la Guinée de son isolement international et à exploiter les ressources naturelles. Il se pose en défenseur des droits de l’homme en libérant 250 prisonniers politiques, encourageant ainsi le retour d’environ 200 000 Guinéens de l’exil.

C’est ainsi que quelques mois plus tard, Lansana Conté est nommé secrétaire général du Parlement international pour la sécurité et la paix, une organisation intergouvernementale basée en Italie.

Une présidence dictatoriale
D’avril 1984 à décembre 1993 : des débuts encourageants 
Le 22 décembre 1985, dans son discours-programme, il opte pour un libéralisme économique, après 26 ans d’économie centralisée. Il lance de nombreuses réformes : le rétablissement de l’initiative privée, la privatisation de nombreuses entreprises publiques, la dévaluation de la monnaie et le rétablissement du franc guinéen, ainsi que la réduction des dépenses du gouvernement et l’encouragement des investissements étrangers.

Le 3 avril 1990, à l’occasion du sixième anniversaire de l’avènement de la IIe République, Lansana Conté est promu au grade de général de corps d’armée. Dans le même temps, alors qu’une vague démocratique touche l’Afrique, il fait adopter une nouvelle Constitution par référendum le 23 décembre 1990. En 1992, dans le cadre des préparatifs de l’élection présidentielle de l’année suivante, les partis politiques sont officiellement légalisés et douze lois organiques réglementent le statut d’institutions telles que la Cour suprême.

Les mesures annoncées par le nouveau président ne tardent pas à se faire sentir : la croissance économique s’élève à 4,5 % par an et le taux d’inflation ne dépasse pas 5 % du PIB.

Le CMRN est dissout le 16 janvier 1991, et est remplacé par le Comité de transition pour le redressement national (CTRN), un organe composé à partie égale de civils et de militaires.

De décembre 1993 à décembre 2003 : la radicalisation du régime
Lors de l’élection présidentielle de 1993, Lansana Conté, candidat du Parti de l’unité et du progrès (PUP), est opposé à huit candidats, dont Alpha Condé (RPG). Le président sortant l’emporte dès le premier tour de scrutin avec 51,7 % des suffrages[12]. Cette élection est vivement contestée par les partis d’opposition suite à la décision de la Cour suprême d’annuler les résultats de deux préfectures où Condé avait obtenu plus de 90 % des voix[13] ; dès lors, le régime en place prend un visage plus radical.

Réélu avec 56,1 % des suffrages en 1998[12], Lansana Conté renoue peu à peu avec les pratiques autoritaires de Sékou Touré, en faisant notamment arrêter de nombreux opposants. En novembre 2001, il soumet à la population un référendum prévoyant une modification constitutionnelle afin qu’il puisse briguer un troisième mandat à la tête du pays. Le référendum, qui réduit la décentralisation et prolonge le mandat présidentiel de deux ans, est adopté par 98,4 % des voix, et est dénoncé par les observateurs internationaux.

Le 30 juin 2002, alors que les principaux partis d’opposition boycottent les élections législatives, le parti présidentiel remporte à nouveau la majorité à l’Assemblée nationale, obtenant 61,5 % des suffrages et 85 des 114 sièges à pourvoir.

De décembre 2003 à sa mort : une fin de présidence difficile [modifier]
En décembre 2003, il est réélu avec 95,63 % des suffrages face à un seul adversaire, les autres opposants préférant ne pas participer à un scrutin qu’ils estiment joué d’avance.

Au milieu de l’année 2006, alors que le prix du riz et du carburant est au plus haut, les nombreuses grèves générales et leurs sanglantes répressions, affaiblissent le président guinéen.

En août, Human Rights Watch rend public un rapport de trente pages qui condamne les violations des droits humains en Guinée, en mettant en évidence le vide politique résultant de la maladie du président en cours, et exprimant sa préoccupation quant à l’avenir. Mais en octobre 2006, le général Conté annonce qu’il compte demeurer président jusqu’à la fin de son troisième mandat en 2010, tout en précisant qu’il aime son pays et qu’il le protège contre ses ennemis. Il déclare également qu’il est à la recherche d’un successeur « comme [lui], qui a de l’envergure, patriote, pour diriger la Guinée ».

Malgré une nouvelle grève générale commencée le 10 janvier 2007, Lansana Conté s’accroche au pouvoir. Une semaine après, il annonce le limogeage de Fodé Bangoura, ministre d’État aux Affaires présidentielles et numéro deux du régime. Quelques jours plus tard, alors que plusieurs centaines de milliers de citoyens continuent à manifester et que 59 personnes sont mortes de la répression des forces de l’ordre, le général Conté accepte de nommer un Premier ministre de consensus. Il cède aux demandes des centrales syndicales à l’origine de la grève le 26 janvier, et annonce qu’il transférera toutes ses prérogatives de chef du gouvernement au futur Premier ministre, dont il ne révèle pas le nom immédiatement. Le 9 février, il choisit finalement de nommer Eugène Camara, un de ses proches. Mécontents de ce choix, les syndicats et la société civile s’embrasent. Le président cède à la pression, et le 26 février, il nomme Lansana Kouyaté au poste de Premier ministre. Le bilan humain de ce soulèvement est terrible : au moins 186 personnes sont tuées et 1 200 blessées.

Le 5 avril 2007, Conté cède le poste de ministre de la Défense nationale qu’il détenait depuis plusieurs semaines au général Arafan Ousmane Camara. Toutefois, le 5 décembre de la même année, un décret de restructuration des ministères accroît un peu plus les pouvoirs du secrétaire général de la présidence de la République, au détriment du Premier ministre.

En mai et juin 2008, des soldats menacent la stabilité du pays en réclamant le paiement des arriérés de leur solde, fragilisant encore un peu plus le régime en place. Cette fois-ci, le bilan s’élève à au moins trois morts et à des dizaines de blessés.

Tentatives de renversement
Le 4 juillet 1985, l’ancien Premier ministre Diarra Traoré, un colonel qui a pris part au coup d’État de 1984, tente de s’emparer du pouvoir alors que le président Conté assiste au sommet de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) à Lomé, au Togo. Mais le peuple et les troupes fidèles à Conté lui témoignent leur soutien par l’écrasement spontané de la rébellion. Au total, 18 personnes perdent la vie et une centaine de militaires, y compris Traoré, sont par la suite exécutés pour leur implication dans l’insurrection.

Une mutinerie militaire éclate les 2 et 3 février 1996 pour non-paiement des salaires. Caché dans les sous-sols du Palais des nations, le président échappe de peu à la mort, alors que l’on bombarde son bureau. Son apparition en public met cependant un terme à la révolte qui a causé plusieurs dizaines de morts.

Le 19 janvier 2005, il est victime d’une nouvelle tentative d’assassinat[18], alors que son cortège revient de l’aéroport de Conakry. Le président, qui n’a pas été blessé, déclare que « Dieu n’avait pas encore décidé que c’était temps qu’[il] meure ».

État de santé et décès
Des rumeurs récurrentes le disant mourant circulent dès 2002. Effectivement, au mois de décembre de cette même année, des médecins marocains lui diagnostiquent une leucémie et une forme aiguë de diabète, et lui annoncent qu’il lui reste moins de six mois à vivre. À l’occasion de l’élection présidentielle de 2003, il reconnaît avoir des douleurs aux pieds, et est contraint de voter à bord de sa voiture en raison de sa difficulté à marcher.

Début 2006, son état de santé s’aggrave brusquement ; il se rend alors à plusieurs reprises à l’étranger pour se faire hospitaliser, et est victime de comas diabétiques à répétition. Lors d’une allocution au cours de l’année 2007, il confirme ses problèmes de santé : « Je suis en train de diminuer », déclare-t-il. Ayant confessé que la maladie le fatiguait depuis longtemps, il paraît de plus en plus amaigri.

Conté, gros fumeur, souffre également de problèmes cardiaques, est régulièrement absent des réunions internationales, ne quitte plus le territoire national lors des dernières années de sa vie[n 3], et ne peut même pas assister aux cérémonies du 50e anniversaire de l’indépendance de la Guinée, le 2 octobre 2008.

Le président malade, que l’on dit très mal entouré, ne vit plus dans la capitale mais dans un petit village où il cultive des champs de riz. Durant cette période, ce sont ses proches conseillers, régulièrement renouvelés, qui assurent véritablement le pouvoir.

Le 23 décembre 2008, Aboubacar Somparé, président de l’Assemblée nationale, annonce à la télévision que le président de la République est décédé la veille à 18h45 (heure GTM), « après une longue maladie »[4], sans préciser la cause exacte de sa mort. Selon lui, Lansana Conté a caché ses souffrances physiques pendant des années, afin de donner le bonheur à la Guinée. Un deuil de 40 jours est alors décrété par le Premier ministre.

Quelques heures après sa mort, un groupe d’officiers se présentant sous le nom de Conseil national pour la démocratie et le développement (CNDD) annonce à la radio, par le biais de son porte-parole Moussa Dadis Camara, la dissolution du gouvernement et de la Constitution du pays, laissant présumer un coup d’État[2]. En effet, le 24 décembre 2008, Moussa Dadis Camara s’autoproclame président de la République.

Les funérailles de Lansana Conté, qualifiées de « grandioses » par la presse, se déroulent le 26 décembre 2008 à Conakry, et rassemblent plus de 30 000 personnes, ainsi que plusieurs chefs d’État africains

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( 22 décembre, 2008 )

Lansana CONTE- Mort

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 Lansana CONTE- Mort

Lansana CONTE – 22-12-2008
CONAKRY (AFP) – Le président de Guinée, le général Lansana Conté, est mort lundi soir à l’âge de 74 ans, après un long règne de 24 ans marqué par de sanglantes répressions et une gestion calamiteuse d’un pays classé parmi les plus pauvres du monde malgré un sous-sol très riche. Aussitôt après l’annonce du décès, dans la nuit de lundi à mardi, le Premier ministre Ahmed Tidiane Souaré a lancé, via la télévision d’Etat, un appel « au calme et à la retenue » aux « braves populations guinéennes », demandant le concours de l’armée pour assurer cette tranquillité.

Aucun incident n’avait été signalé plus de deux heures après l’annonce du décès.
Militaire de carrière, Lansana Conté était arrivé au pouvoir le 3 avril 1984, à la faveur d’un coup d’Etat, une semaine après la mort du premier président de la Guinée indépendante, Ahmed Sékou Touré.
Depuis, il avait toujours pris appui sur les dirigeants de l’armée pour avoir la haute main, avec son clan, sur la vie politique et économique de ce pays ouest-africain. Et il s’accrochait au pouvoir, malgré ses maladies (une forme aiguë de diabète, une leucémie…) et une contestation de plus en plus vive.
Son décès a été annoncé dans la nuit de lundi à mardi par le président de l’Assemblée nationale, Aboubacar Somparé, aux côtés du chef d’état-major, le général Diarra Camara et du Premier ministre. Auparavant, tous les hauts responsables du régime s’étaient réunis au Palais du peuple (siège de l’Assemblée nationale), pour évoquer « la succession du président ».
« Nous avons le regret d’annoncer au peuple de Guinée le décès du général Lansana Conté, des suites d’une longue maladie, à 18H45″ (locales et GMT), a déclaré M. Somparé, demandant officiellement au président de la Cour suprême de constater la vacance du pouvoir et de faire appliquer la Constitution. La gestion des affaires du pays doit alors revenir temporairement au président de l’Assemblée nationale, chargé d’organiser une élection présidentielle dans les 60 jours.
Le chef du gouvernement, décrétant « un deuil national de 40 jours », a déclaré: « Les drapeaux seront mis en berne et le programme des obsèques nationales sera communiqués ultérieurement ».
« En cette douloureuse circonstance, j’invite les braves populations guinéennes – qui ont toujours fait preuve de dignité, chaque fois que nous affrontons ensemble de dures épreuves à travers notre histoire – au calme et à la retenue », a poursuivi M. Souaré, en poste depuis mai. Réputé proche du clan présidentiel, M. Souaré a ensuite appelé les forces de défense et de sécurité à « assurer la sécurité aux frontières et le calme à l’intérieur du territoire national ».
Début 2007, de grandes manifestations populaires hostiles au régime et aux « prédateurs de l’économie nationale » avaient été violemment réprimées: au moins 186 personnes avaient été tuées et 1.200 blessées.
Les discours de condoléances des hauts dignitaires, évoquant le « regretté président », ne devraient pas beaucoup émouvoir les neuf millions d’habitants de la Guinée, dont 53% vivent au dessous du seuil de pauvreté.
Les organisations non gouvernementales ont maintes fois dénoncé la « gestion calamiteuse » de la Guinée, minée par la corruption et classée parmi les pays les plus pauvres du monde malgré les richesses de son sous-sol (bauxite, fer, or, diamants…). Le mois dernier, plusieurs manifestations avaient eu lieu dans la capitale comme en province, notamment pour protester contre la cherté du carburant ou les coupures d’électricité.
Selon l’organisation Human Rights Watch, la répression de ces manifestations avait abouti à la mort de « quatre » personnes « au moins », les forces armées ayant parfois tiré à balles réelles.

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Lansana Conté (30 Novembre  1934 – 22 décembre 2008 ) a été le Président de la Guinée, du 3 avril 1984 jusqu’à sa mort. Il était un musulman et un membre du groupe ethnique Susu

Début de la vie
Né à Moussaya Loumbaya (Dubréka), membre du peuple Susu,  il estime sa date de naissance à 1934, bien qu’il savait jamais exactement.  Conté a fait ses études dans une école coranique locale et a fréquenté l’école primaire de Dubréka. Il a ensuite l’étude des écoles préparatoires militaires à Bingerville, Côte d’Ivoire et Saint-Louis, Sénégal. 

Service militaire et le gouvernement
En 1955, il s’est enrôlé dans l’ armée française et a été affiché en Algérie pendant la guerre d’indépendance en 1957. Après son service dans l’armée française, Conté renvoyé vers la Guinée, qui est devenu indépendant de la France le 2 octobre 1958 et a été intégrée dans la nouvelle armée avec le grade de sergent. En 1962, il a fréquenté l’école de l’agent Camp Alpha à Conakry. Peu après, il a été transféré vers le Centre de formation d’artillerie 2e bataillon à Kindia. Le 1 juillet 1963, il a été promu sous-lieutenant. Celle-ci a été suivie deux ans plus tard un autre promotion de sous-lieutenant lieutenant. Le 22 novembre 1970, militaire portugais avec dissidents guinéennes ont envahi le pays de Guinée portugaise (maintenant Guinée-Bissau) dans le but évident de renverser le gouvernement du Président Ahmed Sékou Touré et de détruire les guérilleros PAIGC. Conté a participé à des opérations pour défendre la capitale et les forces gouvernementales supprimée dès l’invasion. Pour son service à la nation, il est promu au grade de capitaine le 27 février 1971. En 1973, il est nommé commandant de la zone opérationnelle de Boké (dans le nord-ouest de Guinée) afin d’aider le mouvement indépendantiste guérilla, le Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) en Guinée voisine de portugais. Le 10 mai 1975, il a été nommé assistant chef d’état-major de l’armée.

En 1977, il était chef de la délégation guinéenne au cours des négociations pour résoudre un conflit de frontière avec la Guinée-Bissau, qui a été élu à l’Assemblée nationale en 1980. Plus tard cette année, il a participé à la décision Du Parti démocratique de Guinée (PDG) officiel pèlerinage à la Mecque. 
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 Présidence 
coup d’État et de gouvernement militaire 1984
Le Président Ahmed Sékou Touré, chef de l’Etat du Guinée, depuis l’indépendance, est décédé le 26 mars 1984. Premier ministre Louis Lansana Beavogui a agi comme Président par intérim. Le 3 avril, Conté a dirigé un coup d’État militaire qui a renversé le gouvernement.

Il a dénoncé les violations des droits de l’homme du régime Touré et libéré 250 prisonniers politiques. Il a également encouragé le retour d’environ 200 000 Guinéens exil.

La constitution du pays a été immédiatement suspendue après la prise de contrôle, avec l’Assemblée nationale, et l’activité politique a été interdit. Un Comité militaire de 25 membres pour le redressement national (CMRN) a été créé et dirigé par Conté, qui, le 5 avril, a été proclamée Président de la République.

Le 4 juillet 1985, les soldats loyaux au Conté, qui assistait à un sommet de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) à Lomé, Togo, contrarié un coup d’Etat. Conté, membre de la soussous (ou Sousou), a saisi cette occasion pour éliminer les soldats rivales de l’ethnie Malinké, dont l’ancien premier ministre Diarra Traoré. 

Le 3 avril 1990, Conté a été promue au rang de l’armée du général.

Le Président Conté a été également le Secrétaire général du Parlement International pour la sécurité et de paix, une organisation intergouvernementale basée en Italie. [citation nécessaire] 

Économique et de la transition politique
De réformes économiques du conté, y compris la dévaluation de la monnaie et de la réduction des dépenses du gouvernement se sont réunis avec l’approbation du Fonds monétaire international (FMI), et réalignement avec des pays occidentaux encourage les investissements étrangers.

Il a lancé la transition de la Guinée au civil, multipartite règle le début des années 1990. Une nouvelle constitution a été approuvée lors d’un référendum tenu le 23 décembre 1990 et le CMRN a été dissoute le 16 janvier 1991. Il a été remplacé par le Comité de transition pour le redressement national (CTRN), un organe composé de civils et militaires. Partis politiques ont été légalisés en 1992 en prévision des élections à venir. 

Régime civil
La première élection présidentielle multipartite tenue depuis l’indépendance a été menée le 19 décembre 1993. Conté, candidat du nouvellement formé parti de l’unité et le progrès (PUP), a remporté à 51,7 % des voix. Alpha Condé du rassemblement du peuple guinéen (RPG) a terminé deuxième avec 19,6 % des voix.  L’opposition présumés de fraude électorale, surtout après que la Cour suprême actualisés comme non valide les résultats dans deux préfectures où Condé du RPG avait reçu une large majorité des voix.

En dépit a déclaré attachement du Conté à la démocratie, son régime est resté autoritaire. Cependant, il avait beaucoup moins d’énergie que Touré, et en grande partie son règne a été beaucoup plus doux.

Gouvernement de Conté a étroitement a survécu à une tentative de coup d’état de 2 février 1996 qui découlait d’une armée mutinerie au paiement des salaires. Plusieurs dizaines de civils ont été tués et la résidence présidentielle a subi des dommages importants.

La Guinée deuxième multi parti élections présidentielles, qui s’est tenue le 14 décembre 1998, Conté a remporté un nouveau mandat de cinq ans avec 56,1 % des voix.  Les sondages, même si une amélioration par rapport aux élections de 1993 troublée, étaient considérés comme erronée par les partis d’opposition et les observateurs. Un référendum de novembre 2001 qui a levé les limites du mandat présidentiel et se prolonger le mandat au Bureau de cinq à sept ans était accompagnée de 98,4 % des électeurs.  Les résultats, cependant, ont été rejetées par les partis d’opposition qui prétendait que le résultat était gréé.

Il a poursuivi pour remporter un troisième élection présidentielle tenue le 21 décembre 2003 avec 95,6 % des voix  après tout, mais un des candidats opposées ont boycotté la course, exprimant leur conviction que Conté ne laisserait jamais une élection équitable. Conté avait été en refusant de santé, souffrant de problèmes de diabète et le coeur, et sa capacité à servir et à survivre à un autre terme complet au Bureau a été mis en doute par beaucoup. Il a prêté serment le 19 janvier 2004, et dans une télévision à cette occasion, il a promis à lutter contre la corruption. 

Le 19 janvier 2005, coups de feu ont été auraient tirés à son cortège de voitures sur son chemin en Conakry dans ce qui était apparemment une tentative d’assassinat. Un garde du corps a été aurait été blessé. Conté, qui était indemne, est allé sur l’état de radio et de télévision qui nuit à dire qu’il avait survécu parce que Dieu n’a pas encore décidé de son temps à mourir. Il a également mentionné « menaces de ceux qui ne souhaitent pas voir le développement de la Guinée ou ceux qui obéissent aux ordres donnés pour eux de l’étranger » et a promis qu’il serait « pas être manipulé ». Sur le lendemain matin, il a fait une apparition en public à prier.

Lors d’une visite en France avec sa famille en 2005, le premier ministre François Lonsény Fall a démissionné et demandé l’asile. Il s’est plaint de la corruption et les interférences croissante de Conté. Successeur de l’automne, Cellou Dalein Diallo, ont résisté jusqu’en avril 2006. Conté a échoué de nommer un nouveau premier ministre jusqu’à la fin de janvier 2007.

En avril 2006, il a été effectué au Maroc pour un traitement médical. La plupart des gens devraient il ne reviendrait pas, mais il l’a fait. Puis en mai 2006 émeutes à Conakry au-dessus du prix du riz et du carburant conduit à une vingtaine de morts que les forces de sécurité sauvagement répriment le soulèvement populaire. En août 2006 il encore avion en Suisse pour un traitement médical. Pour l’instant aucun foules ne rencontré à son retour en Guinée. Entre-temps, Henriette Conté, première femme de Bush, a été accusée de bafouer la primauté du droit et en profitant d’une incapacité physique et mentale de Bush à abuser de son pouvoir.

En août 2006, Human Rights Watch a produit un rapport de 30 pages condamnant les violations des droits de l’homme en Guinée, en soulignant le vide du pouvoir résultant de la maladie continue de Bush et son inquiétude face à l’avenir.

Dans un entretien avec des journalistes déclarés par Guinéenews en octobre 2006, Lansana Conté a dit qu’il se proposait de rester président jusqu’en 2010, qui était à la fin de son mandat de sept ans. Conté a également déclaré qu’il recherchait un remplacement qui « aime le pays et elle protégera contre ses ennemis.

En novembre 2006, Transparency International mis à jour son index annuel de la corruption. Guinée sous Lansana Conté a ensuite été deuxième égale comme le pays le plus corrompu dans le monde (fierté de place pour corruption à Haïti). Il s’agit d’un sujet de préoccupation pour les entreprises étrangères qui ont l’intention d’investir en Guinée (par exemple pour exploiter ses réserves de bauxite vaste) comme ils sont incapables de fonctionner en Guinée sans énormes pots-de-vin à des fonctionnaires hautement placés, mais si vous êtes surpris ce faisant ils peuvent faire face à des poursuites judiciaires dans leur pays d’origine.

En janvier 2007, une grève nationale générale s’est tenue à protester de leadership continu du Conté du pays.  La grève a continué pendant plus de deux semaines, au cours de laquelle des centaines de milliers de manifestants ont défilé dans les rues. Au cours des deux premières semaines, répression sauvage par rouge-caps (gardes présidentiels) et autres forces gauche manifestants au moins vingt morts. À la fin de la grève le 27 janvier, il a été signalé que les manifestants au moins 90 étaient mort des affrontements violents avec la police  et au moins 300 avait été blessé, selon un groupe local droits de l’homme.

Fin de la grève suite à un accord entre Conté et les syndicats, selon un nouveau premier ministre seraient nommé à la tête du gouvernement. Conté a également décidé de baisser le prix du riz et du carburant.  Le 9 février, Conté nommé Eugène Camara, ministre d’État aux affaires présidentielles depuis janvier, comme premier ministre.  A été rejetée par l’opposition, et la violence généralisée éclaté après la nomination.  La grève a repris le 12 février, et Conté déclarée loi martiale le même jour.  Le 25 février Conté convenu d’un accord à la fin de la grève, et le 26 février, il a nommé un nouveau premier ministre, Lansana Kouyaté, parmi une liste de personnes choisies par les syndicats et les représentants de la société civile ; personnes est retournée au travail le 27 février.  Kouyaté est assermentée le 1er mars lors d’une cérémonie au cours de laquelle le Conté n’était pas présente.

Dans une interview à l’Agence France-Presse et TV5 le 14 juin 2007, Conté a affirmé qu’il était encore en charge du pays (« Je suis le patron, d’autres sont mes subordonnés »), a rejeté la possibilité d’une transition et a déclaré que sa nomination d’un premier ministre n’est pas due à la pression et qu’il était satisfait de la performance du Kouyaté. 

Le 5 décembre 2007, un décret restructuration des ministères accru les pouvoirs du Secrétaire général de la présidence au détriment de ceux du premier ministre, et le 3 janvier 2008 Conté a rejeté et remplacé Justin Morel Junior, le ministre de la communication et porte-parole du gouvernement, sans consulter Kouyaté. Le 4 janvier, Kouyaté exigeait que Morel être rétablie à son poste et syndicats a annoncé son intention de commencer de nouvelle « grève générale illimitée » le 10 janvier, exigeant qu’accord du Conté avec les syndicats soient appliquées correctement et que Morel être rétablie.  Le 9 janvier, les syndicats retirent leur appel à une grève. 

Dans un geste de surprise, le 20 mai 2008, Conté rejeté Kouyaté et lui remplacé par Ahmed Tidiane Souaré.  Kouyaté a été considérée comme une déception dans son rôle de premier ministre et son impopularité signifiait que son licenciement a été pas accueillie avec les troubles majeurs du type de celles qui ont conduit à sa nomination, un an plus tôt.  Par le biais de ce licenciement et la nomination de Souaré, qui était considéré comme proche de Conté,  a été considérée comme Conté ont renforcé sa position. 

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 Mort
À l’aube du 23 décembre 2008, Aboubacar Somparé, le Président de l’Assemblée nationale, a annoncé à la télévision que Conté était mort à 6 h 45, heure locale, le 22 décembre « après une longue maladie »,  sans spécifier la cause du décès.  Selon Somparé, Conté « caché ses souffrances physiques » années « afin de »donner bonheur en Guinée.  Conté avait quitté le pays pour un traitement médical à maintes reprises au cours des années précédant sa mort,  et spéculations sur son état de santé depuis longtemps répandue. Contrairement à son habitude, Conté ne semble pas à la télévision marque Tabaski plus tôt en décembre 2008 et cette spéculation renouvelée piquée, ainsi que des préoccupations au sujet de la possibilité de violence en cas de sa mort. Vers la même époque, un journal a publié une photo suggérant que Conté était en mauvaise condition physique et avoir des difficultés debout jusqu’à. Rédacteur en chef de ce journal a été arrêté et le journal a été nécessaire d’imprimer une photo dans laquelle Conté a examiné en bonne santé. 

Selon la constitution, le Président de l’Assemblée nationale devait assumer la présidence de la République en cas de vacance, et une nouvelle élection présidentielle devait avoir lieu dans les 60 jours.  Somparé a demandé que le Président de la Cour suprême, Lamine Sidimé, déclarer une vacance de la présidence et s’appliquent à la constitution.  Premier ministre Souaré et Diarra Camara, le chef de l’armée, se tenait à côté Somparé lors de son annonce.  Déclarant 40 jours de deuil national pour Conté,  Souaré a exhorté « calme et retenue ». Il a dit à l’armée pour sécuriser les frontières et maintenir calme dans le pays « en hommage à la mémoire du dirigeant fin illustre ». 

Six heures après que Somparé a annoncé la mort de Conté, une déclaration a été lue à la télévision, annonçant un coup d’Etat.  Cette déclaration, lu par le capitaine Moussa Dadis Camara  au nom d’un groupe appelé le Conseil National pour la démocratie et le développement (CNDD),  a déclaré que « le gouvernement et les institutions de la République ont été dissoutes ». L’instruction a également annoncé la suspension de la constitution « activité ainsi que politique et syndicale ». 

Les funérailles du conté a eu lieu à Conakry, le 26 décembre. Son corps a été mis sur l’affichage dans le Parlement avant d’être conduit au stade national, où plus de 20 000 personnes étaient présents. Les dirigeants des pays voisins étaient présents pour les funérailles. Lors des funérailles, général Mamadou Ba Toto du CNDD a déclaré que « nous prions Dieu pour nous donner le courage de poursuivre les travaux [de Conté] de tolérance et de paix pour le bien-être de la Guinée ». Par la suite, son corps a été enterré le village de Lansanaya, en face de son manoir.  Il a été pris hors de son cercueil et placé dans le sol, puis recouverts de poignées de saleté jetés par les personnes. L’enterrement a été marquée par des troubles, comme des milliers de personnes ont tenté de rejoindre la tombe et les forces de sécurité forment un cordon autour de lui.

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( 13 décembre, 2008 )

Horst TAPPERT-Décédé

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Horst TAPPERT-Décédé

Horst TAPPERT

Biographie de Horst TAPPERT :
Acteur et Artiste (Allemand)
Né le 26 mai 1923
Décédé le 13 décembre 2008 (à l’âge de -88 an)

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Horst Tappert, né le 26 mai 1923 à Elberfeld (maintenant Wuppertal) et mort le 13 décembre 2008 à Munich[1], est un acteur allemand. Il s’est fait connaitre à l’étranger grâce à son rôle de Stephan Derrick dans la série Inspecteur Derrick. Outre cette série, Tappert a joué dans une longue liste de films et téléfilms depuis la fin des années 1950.

Horst Tappert est né en 1923, son père était fonctionnaire. Après l’école élémentaire, il commence un apprentissage d’employé de commerce. Avec le début de la guerre, il est incorporé comme soldat dans la Wehrmacht. Il est fait prisonnier de guerre.

Après la Seconde Guerre mondiale, il tient la comptabilité du théâtre de l’Altmark à Stendal et pendant un certain temps, travaille comme ouvrier spécialisé. Sa passion pour le théâtre grandit et en 1946, il suit des cours auprès de Paul Rose. Ses premières expériences de la scène ont lieu à Köthen et au théâtre de Württemberg-Hohenzollern. Il poursuit sa carrière à Göttingen (1949-50), à Kassel (1950-51), à Bonn (1951-53) puis à Munich (1956-67). Dès 1967, Tappert devient acteur indépendant.

À la fin des années 1950, il fait ses premières apparitions au cinéma et à la télévision. Après le film Die Trapp-Familie in Amerika (1958) et Der Engel, der seine Harfe versetzte (1959), Tappert approche déjà les rôles policiers avec celui d’un détective dans la série télévisée Zu viele Köche (1961). Suite à son interprétation d’un vicaire dans Das Halstuch (1962), il participe la même année au tournage d’un film sur le Père Brown, Er kann’s nicht lassen, où il joue un rôle de bandit aux côtés d’Heinz Rühmann. En 1966, la télévision fait appel à lui pour une trilogie policière, Die Gentlemen bitten zur Kasse, dans laquelle il interprète le chef d’une bande de malfaiteurs. Les rôles de brigands lui conviennent et il apparaît dans Die Rechnung – eiskalt serviert mettant en scène le personnage de fiction Jerry Cotton.

En 1968, Tappert joue dans des films inspirés de nouvelles d’Edgar Wallace, d’abord dans Der Hund von Blackwood Castle puis dans le rôle de l’inspecteur Perkins à deux reprises (Der Gorilla von Soho et Der Mann mit dem Glasauge (1969)). Pour la ZDF, Tappert travaille en 1968 dans l’une des premières séries policières, Das Kriminalmuseum. Deux ans plus tard, il est l’inspecteur du film Inspektor Perrak greift ein. En 1971, il joue dans le téléfilm Yester – der Name stimmt doch? qui est directement inspiré d’une série à succès de 1967, Graf Yoster gibt sich die Ehre.

En 1972, Tappert reprend un personnage de gangster qu’il avait déjà interprété dans Die Gentlemen bitten zur Kasse à l’occasion d’un téléfilm en deux parties Hoopers letzte Jagd. Même si le rôle reste le même, un braqueur pourchassé par un gentleman, le nom du personnage a changé (Michael Richardson au lieu de Michael Donegan).

Helmut Ringelmann, un producteur qui planche sur une nouvelle série policière pour la ZDF, se souvient de Tappert. Herbert Reinecker qui écrit les scénarios de Der Kommissar, dans laquelle Tappert tourne déjà entre 1970 et 1973, rédige la suite de cette série à succès. La nouvelle série s’appelle Derrick et doit montrer un nouveau genre de détective « psychologique ». Le premier
épisode (Waldweg) est enregistré en 1973. Tappert joue le rôle de l’inspecteur Derrick d’un commissariat de Munich, accompagné de son assistant Harry Klein (interprété par Fritz Wepper, lui même venant de l’équipe de Der Kommissar). Très vite, la série rencontre un succès qui dépasse les frontières allemandes. Elle est achetée par 108 pays et traduite en 12 langues. La série compte au total 281 épisodes et se termine en 1998 après 25 ans de succès, par un épisode qui consacre la promotion de Derrick à l’Europol.

Le succès international de la série Derrick a valu à Horst Tappert une notoriété singulière. Le pape Jean-Paul II qui était l’un de ses « fans », l’a rencontré en 1999[2]. La police de la ville de Munich lui décerna le titre de « commissaire d’honneur »[3]. La Norvège ira même jusqu’à offrir un terrain à Tappert où il construira l’une de ses maisons [4].

Tappert s’installe ensuite à Gräfelfing près de Munich avec sa femme, Ursula (née Pistor), qu’il avait épousé en 1957. Horst Tappert a eu trois enfants (Karin, Ralph et Gary). Pendant son temps libre, Tappert fait de la pêche et de la chasse.

Le 13 décembre 2008, il décède dans une clinique de Munich. Il avait 85 ans [5].

Filmographie
Caricature de Horst Tappert dans son rôle d’Inspecteur Derrick

* 1958 : Die Trapp-Familie in Amerika
* 1958 : Helden (Arms and the Man), avec O. W. Fischer, Liselotte Pulver, Ellen Schwiers
* 1958 : Wir Wunderkinder, avec Hansjörg Felmy, Robert Graf, Johanna von Koczian
* 1959 : Der Engel, der seine Harfe versetzte, avec Nana Osten, Henry Vahl, Ullrich Haupt
* 1959 : Jacqueline, avec Johanna von Koczian, Walter Reyer, Götz George, Hans Söhnker
* 1959 : Das schöne Abenteuer, avec Liselotte Pulver, Robert Graf, Bruni Löbel
* 1960 : Ruf ohne Echo (téléfilm)
* 1961 : Zu viele Köche
* 1961 : Küß mich Kätchen, avec Peter Carsten, Harald Leipnitz, Christiane Maybach
* 1961 : Ein schöner Tag (téléfilm), avec Joachim Teege, Hugo Lindinger, Trude Hesterberg
* 1962 : Das Halstuch (téléfilm), avec Heinz Drache, Albert Lieven, Erica Beer, Eckart Dux
* 1962 : Er kann’s nicht lassen, avec Heinz Rühmann, Rudolf Forster, Grit Böttcher, Lina
Carstens
* 1963 : Das tödliche Patent (téléfilm), avec Wolfgang Preiss, Gisela Trowe, Siegfried Lowitz
* 1963 : Zwei Whiskey und ein Sofa, avec Maria Schell, Karl Michael Vogler, Robert Graf
* 1964 : Sechs Personen suchen einen Autor (téléfilm), avec Helmut Förnbacher, Robert Freitag
* 1964 : Der Aussichtsturm (téléfilm), avecClaudia Sorbas, Konrad Georg, Monika John
* 1964 : Leonce und Lena (téléfilm), avec Dieter Kirchlechner, Gertrud Kückelmann
* 1965 : Eine reine Haut (téléfilm), avec Herbert Fleischmann
* 1966 : Das ganz große Ding (téléfilm), avec Carl-Heinz Schroth, Brigitte Grothum
* 1966 : Ein Tag in Paris (téléfilm), avec Paula Denk, Ingeborg Solbrig, Peter Fröhlich
* 1966 : Der Kinderdieb (téléfilm), avec Isolde Bräuner, Lucie Mannheim, Walter Jokisch
* 1966 : Der Mann aus Melbourne (téléfilm), avec Herbert Stass, Alf Marholm, Roma Bahn
* 1966 : Der Schwarze Freitag (téléfilm), avec Curd Jürgens, Dieter Borsche
* 1966 : Jerry Cotton: Die Rechnung eiskalt serviert, avec George Nader, Heinz Weiss
* 1966 : Die Gentlemen bitten zur Kasse (téléfilm en trois parties), avec Hans Cossy, Günther
Neutze
* 1967 : Liebe für Liebe (téléfilm), avec Wolfgang Büttner, Helmut Griem, Klaus Löwitsch
* 1968 : Der Hund von Blackwood Castle, avec Heinz Drache, Karin Baal, Hans Söhnker
* 1968 : Heißer Sand auf Sylt, avec Charlotte Kerr, Renate von Holt, Axel Burg
* 1968 : Der Gorilla von Soho, avec Uschi Glas, Uwe Friedrichsen, Hubert von Meyerinck
* 1968 : Das Kriminalmuseum – Die Reifenspur (téléfilm)
* 1969 : Der Mann mit dem Glasauge, avec Karin Hübner, Fritz Wepper, Hubert von Meyerinck
* 1969 : Sieben Tage Frist, avec Joachim Fuchsberger, Konrad Georg, Karin Hübner, Petra
Schürmann
* 1970 : Sie tötete in Ekstase, avec Soledad Miranda, Fred Williams
* 1970 : Inspektor Perrak greift ein, avec Erika Pluhar, Judy Winter, Werner Peters
* 1970 : Und Jimmy ging zum Regenbogen, avec Alain Noury, Konrad Georg, Horst Frank
* 1971 : Bleib sauber, Liebling (The Love Keys), avec Reinhold Brandes, Helmut Braschm,
Hans-Werner Bussinger
* 1971 : Der Teufel kam aus Akasava, avec Fred Williams, Soledad Miranda, Siegfried Schürenberg
* 1971 : Der Kapitän (The Captain) , avec Heinz Rühmann, Johanna Matz, Ernst Stankovski, Horst
Janson
* 1972 : Der Todesrächer von Soho, avec Wolfgang Kieling, Barbara Rütting
* 1972 : Hoopers letzte Jagd (téléfilm), avec Max Mairich, Liselotte Pulver, Florian Halm
* 1973 : Eine Frau bleibt eine Frau (téléfilm), avec Lilli Palmer
* 1973-1998 : Derrick (série télévisée)
* 1974 Auch ich war nur ein mittelmäßiger Schüler, avec Jutta Speidel, Georg Thomalla, Rudolf
Platte
* 1987 : Cinématon n° 911 de Gérard Courant
* 2000 : Der Kardinal – Der Preis der Liebe – (téléfilm), avec Christine Reinhart, Enzo De Caro
* 2001 : In 80 Jahren um die Welt (téléfilm)
* 2003 : Herz ohne Krone – (téléfilm), avec Eleonora Brigliadori, Franco Nero, Jacques Breuer
* 2004 : Derrick – Die Pflicht ruft (Derrick – Le devoir n’attend pas !) – (avec les voix de
Tappert et Wepper)

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( 20 novembre, 2008 )

SOEUR EMMANUELLE-Décédée

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            SOEUR EMMANUELLE
                  1908 – 2008

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SOEUR EMMANUELLE
Biographie de SOEUR EMMANUELLE :
Religieuse (Française)
Née le 16 novembre 1908
Décédée le 20 octobre 2008 (à l’âge de 99 ans)
Sœur Emmanuelle, née Marie Madeleine Cinquin, souvent surnommée la « petite sœur des chiffonniers » ou « petite sœur des pauvres », est une religieuse et écrivain née le 16 novembre 1908 à Bruxelles (Belgique) et morte le 20 octobre 2008 à Callian (Var, France). Elle est connue pour ses œuvres caritatives en Égypte auprès des enfants et des plus démunis et est un symbole, dans l’opinion française, de la cause des déshérités[1]. Née de parents belges et français, elle posséde ces deux nationalités. En 1991, le président Moubarak lui a remis la nationalité égyptienne en remerciement de son œuvre au Caire.

A son entrée chez les religieuses de Notre-Dame de Sion, elle prend le nom de Sœur Emmanuelle mais se fait appeler Mère Emmanuelle par ses élèves. C’est sous ce nom qu’elle se fait connaître des médias et devient très populaire dans l’opinion publique, apparaissant régulièrement en tête des classements des personnalités préférées des français.

Madeleine Cinquin est née le 16 novembre 1908 d’un père français, originaire de Calais, et d’une mère belge, originaire de Bruxelles. Elle grandit dans une famille aisée de trois enfants ayant fait fortune dans la lingerie fine et partage ses jeunes années entre Paris, Londres et Bruxelles. En 1914, alors qu’elle n’a que six ans, elle est fortement marquée par la mort de son père, noyé sous ses yeux sur la côte d’Ostende. Cette expérience la traumatise profondément et lui fait se rapprocher de Dieu. Elle déclare que, dans son inconscient, sa vocation de religieuse date de cet accident.

Quelques années plus tard, Madeleine Cinquin souhaite aller à l’université catholique de Louvain mais sa mère s’y oppose car elle estime qu’elle y serait trop oisive. Elle remarque alors que sa fille fait preuve d’une certaine vocation pour le Christ et elle tente de l’en détourner en lui faisant rencontrer une supérieure d’un couvent de Notre-Dame de Sion à Londres. Ceci ne fait que renforcer ses convictions et accentue la quête de toute sa vie, l’aide à l’enfance malheureuse. Après avoir voulu initialement rejoindre les Filles de la Charité, Madeleine entre finalement comme postulante à la congrégation Notre-Dame de Sion le 6 mai 1929. Après des études de sciences philosophiques et religieuses, elle prononce ses vœux de religieuse le 10 mai 1931 et choisit le nom de Sœur Emmanuelle, qui signifie « Dieu avec nous » en hébreu.

La carrière d’enseignante de sœur Emmanuelle commence tout d’abord à Istanbul en Turquie, dans une école pour jeunes filles d’un quartier pauvre de la ville. Sœur Emmanuelle attrape alors la typhoïde et toutes les autres sœurs lui proposent leur sang afin de l’aider à combattre la maladie. Une fois rétablie, en guise de remerciement, sœur Emmanuelle donne une conférence sur la vie de Soliman le Magnifique et impressionne la directrice du collège, Mère Elvira, qui décide alors de l’affecter dans son établissement. Bien que celle-ci se soit engagée à affecter Sœur Emmanuelle chez les pauvres, elle la convainc qu’elle sera plus efficace si elle enseigne à des jeunes filles aisées, appelées à avoir un rôle influent dans la vie turque. Elle enseigne alors les lettres au Lycée Notre-Dame de Sion. Après la mort de sa supérieure, Sœur Emmanuelle ne s’entend pas avec sa remplaçante et elle est envoyée à Tunis.

De 1954 à 1959, elle enseigne en Tunisie pendant cinq ans où elle s’occupe de filles de français installés dans le pays mais ce nouveau poste ne lui convient pas. En pleine décolonisation du pays, les filles dont elle a la charge lui semblent plus superficielles et l’environnement général la fait doucement sombrer dans une dépression. Ce n’est qu’au bout de trois ans que les responsables de Sion se rendent compte de son état et se décident à la déplacer.

Après avoir décroché sa licence ès lettres à la Sorbonne à Paris, Sœur Emmanuelle est de nouveau affectée à Istanbul en 1959 pour une courte durée.

De 1964 à 1971, elle est envoyée en Égypte pour enseigner au collège de Sion à Alexandrie. Cette expérience s’avère de nouveau négative pour elle car les élèves dont elle est en charge sont peu ouverts sur la pauvreté. Elle décide donc d’arrêter d’enseigner la philosophie et s’occupe à la place des filles du quartier défavorisé de Bacos. C’est durant cet épisode qu’elle tombe amoureuse de l’Égypte.

En 1971, à l’âge de la retraite, elle décide de partir, à l’instar du Père Damien qu’elle vénère, s’occuper des lépreux au Caire mais doit renoncer face à des complications administratives car le lazaret se trouve en zone militarisée. Elle décide alors de partager la vie des plus démunis et, avec l’autorisation de sa congrégation, part s’installer à Ezbet-Al-Nakhl, un des bidonvilles les plus pauvres du Caire en Égypte, au sein de la communauté majoritairement copte chrétienne des zabbalines, chargée de la récupération des déchets. En collaborant avec plusieurs églises locales, elle parvient à établir une communauté et lance de nombreux projets de santé, d’éducation et de protection sociale visant à améliorer les conditions de vie.

En 1976, elle rencontre Sarah Ayoub Ghattas (sœur Sarah), alors supérieure de la congrégation copte-orthodoxe des Filles de Marie de Béni-Souef. Francophone et issue d’une famille de la bourgeoisie, elle obtient l’autorisation de l’évêque Athanasios, fondateur de la congrégation, pour rejoindre Sœur Emmanuelle à Ezbet-Al-Nakhl dont elle partage la cabane. En 1977, Sœur Emmanuelle publie son premier livre Chiffonnière avec les chiffonniers dans lequel elle raconte son combat. En compagnie de Soeur Sarah, elle part en 1978 aux États-Unis afin de récolter des fonds. A leur retour, avec l’argent amassé, elles peuvent investir et en 1980, le Centre Salam est inauguré par l’épouse du président Sadate et propose des dispensaires, des écoles, des jardins d’enfants, des centres de formation et un club social.

En 1982, après avoir confié la gestion d’Ezbet-Al-Nakhl à des jeunes religieuses de l’ordre des filles de Sainte-Marie, elle s’occupe des chiffonniers de Mokattam représentant, avec plus de 23 000 personnes vivant au milieux des détritus, la plus grande communautés de zabbalines du Caire. En 1984, Sœur Emmanuelle vient en aide à cinq familles pauvres et leur permet à chacune de se construire un abri, séparé du lieu où sont triés les déchets. Elle fera plus tard construire ce même type d’abris à plus grande échelle afin d’accueillir le plus de monde possible. Elle continue à utiliser son charisme afin de récolter des dons et mobiliser les pouvoirs. Elle permet de raccorder le bidonville à l’eau et l’électricité et poursuit la construction de nombreuses habitations et d’une usine de compost. En 1985, elle s’installe dans le bidonville de Meadi Tora puis se rend à Khartoum (Soudan) la même année pour créer des foyers, écoles, fermes-écoles et dispensaires.

En 1991, à l’occasion du cinquantenaire de la prononciation de ses vœux, le président Moubarak lui remet la nationalité égyptienne en reconnaissance de son œuvre en Égypte, . En 1993, à la demande de sa congrégation, Sœur Emmanuelle quitte définitivement l’Égypte et rejoint sa communauté en France. Sœur Sarah dirige alors l’ entreprise caritative et continue seule le développement du bidonville de Mokattam. Depuis, un lycée pour filles a été créé grâce à l’opération Orange et des écoles techniques ont été ouvertes pour les garçons. Un hôpital a même été construit grâce au prince Albert de Monaco. En 22 années de présence, l’œuvre de Sœur Emmanuelle a permis de scolariser 85 % des enfants, de faire diminuer la violence et de permettre aux femmes de se libérer.

A son retour en France, Sœur Emmanuelle continue de se battre pour plus de solidarité. Elle écrit des livres, rencontre des jeunes dans les lycées et les écoles, s’occupe également de l’association Les Amis de Paola à Fréjus en aide aux SDF et donne des conférences aux côtés de son association pour sensibiliser le public à l’engagement solidaire.

Parallèlement, Sœur Emmanuelle continue à donner « un souffle » à son association. Elle lui transmet ses principes d’actions qui sont chaque jour mis en pratique sur le terrain. « éduquer un homme c’est éduquer un individu, éduquer une femme, c’est éduquer un peuple ».

En 1995, avec Geneviève de Gaulle-Anthonioz, elle est à l’origine de l’orientation de la campagne présidentielle de Jacques Chirac sur le thème de la fracture et de l’exclusion sociale.

Le 1er janvier 2002, Sœur Emmanuelle est promue par Jacques Chirac au grade de commandeur de la Légion d’honneur avant d’être élevée, par Nicolas Sarkozy, le 31 janvier 2008 grand officier de la Légion d’honneur. En Belgique elle devint en 2005 grand officier dans l’Ordre de la Couronne.

Depuis 1993, elle vivait dans une maison de retraite de Callian dans le département du Var, où elle est morte le 20 octobre 2008 à l’âge de 99 ans. Soeur Emmanuelle aurait fêté ses 100 ans le 16 novembre 2008.

Afin de poursuivre son œuvre à plus grande échelle, Sœur Emmanuelle a fondé l’association « Les Amis de Sœur Emmanuelle » et la « fondation Sœur Emmanuelle ».

Afin de la soutenir dans son œuvre, de développer des actions humanitaires en Egypte et dans d’autres pays comme le Sénégal, le Liban, le Soudan, etc, et d’assurer sa relève, Sœur Emmanuelle a fondé deux associations, Les Amis de sœur Emmanuelle en 1980 et ASMAE et 1985, qui ont fusionné en 1987.

Sœur Emmanuelle était une personnalité très aimée de l’opinion publique en raison de son engagement humanitaire, de sa personnalité, de son caractère exubérant et de son franc-parler, souvent en contraste avec le ton employé par l’Église ou la simplicité d’autres religieux comme l’Abbé Pierre ou Mère Teresa qui s’étaient eux aussi engagés en faveur de plus pauvres et bénéficiaient d’un fort soutien populaire.

Elle était très médiatisée depuis son passage en 1990 à l’émission La Marche du siècle de Jean-Marie Cavada et s’était construite une image caractéristique avec sa blouse, son fichu, ses baskets noires et son habitude de tutoyer les journalistes.

Œuvres écrites par Sœur Emmanuelle

* Sœur Emmanuelle, Chiffonnière avec les chiffonniers, préf. de Jean-Marie Cavada, Editions de
l’Atelier, 1989 et 2007 (ISBN 978-2708239005)
* Sœur Emmanuelle, Une vie avec les pauvres, Editions de l’Atelier, 1991 (ISBN 978-2708228979)
* Sœur Emmanuelle, Yalla, en avant les jeunes, LGF – Livre de Poche, 1999 (ISBN 9782253145677)
* Sœur Emmanuelle, Un pauvre a crié, le Seigneur l’écoute, Emmanuel, 2005 (ISBN 978-2915313505)
* Sœur Emmanuelle, Les mots du Rosaire, Actes Sud, 2001 (ISBN 978-2742734429)
* Sœur Emmanuelle, Agenda 2009. Une année avec Sœur Emmanuelle, Presses de la Renaissance, 21
août 2008 (ISBN 978-2750904364)
* Sœur Emmanuelle, 365 Méditations de Sœur Emmanuelle, Presses de la Renaissance, 09 octobre
2008 (ISBN 978-2750904357)
* Sœur Emmanuelle, Je Te Salue Marie, Elytis, 15 octobre 2008 (ISBN 978-2356390073)
* Sœur Emmanuelle, Les Confessions d’une religieuse, Flammarion, 22 octobre 2008 (ISBN
978-2082125192)

Œuvres en collaboration avec Sœur Emmanuelle

* Sofia Stril-Rever, Matthieu Ricard, Enfants du Tibet : De cœur à cœur avec Jetsun Pema et Sœur
Emmanuelle, préf. de Sœur Emmanuelle, Desclée de Brouwer, 2000 (ISBN 978-2220048109)
* Sœur Emmanuelle, Edmond Blattschen, L’Evangile des chiffonniers, Alice, 2000 (ISBN
978-2930182308)
* Sœur Emmanuelle, Philippe Asso, Richesse de la pauvreté, Flammarion, 2001 (ISBN 9782082100540)
* Sœur Emmanuelle, Marlène Tuininga, Jésus tel que je le connais, J’ai lu, 2003 (ISBN
9782290328736)
* Sœur Emmanuelle, Philippe Asso, Vivre, à quoi ça sert ?, Flammarion, 2004 (ISBN 9782082103411)
* Sœur Emmanuelle, Marlène Tuininga, Le Paradis, c’est les autres, J’ai lu, 2004 (ISBN
9782290343159)
* Sofia Stril-Rever, Sœur Emmanuelle, La Folie d’Amour. Entretiens avec Sœur Emmanuelle,
Flammarion, 2005 (ISBN 978-2082105286)
* Sœur Emmanuelle, Jacques Duquesne, Annabelle Cayrol, J’ai 100 ans et je voudrai vous dire…,
Plon, 20 août 2008 (ISBN 978-2259209212)

Œuvres consacrées à Sœur Emmanuelle

* Pierre Lunel, Sœur Emmanuelle, la biographie, préf. de Bernard Kouchner, Anne Carrière, 2006 (
ISBN 978-2843373640)
* Sofia Stril-Rever, Sœur Emmanuelle, Mille et Un bonheurs : Méditations de Sœur Emmanuelle,
Carnets Nord, 2007 (ISBN 978-2355360046)

Distinction

* 1980 : Ordre du Mérite
* 1987 : doctorat honoris causa de l’université catholique de Louvain
* 1991 : Remise de la nationalité egyptienne par le Président Moubarak en remerciement de son
oeuvre
* 1993 : Officier de l’Ordre de Léopold (Belgique)
* 1995 : Médaille d’Or de l’Académie de Médecine
* 1996 : Officier de la Légion d’Honneur
* 2002 : Commandeur de la Légion d’Honneur (France)
* 2005 : Grand officier dans l’Ordre de la couronne (Belgique)
* 2008 : Grand officier de la Légion d’Honneur (France)

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( 9 novembre, 2008 )

Miriam MAKEBA-Décédée

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Miriam MAKEBA-Décédée

Miriam MAKEBA – 09-11-2008
La chanteuse sud-africaine Miriam Makeba, symbole de la lutte anti-apartheid, est décédée d’une crise cardiaque, dimanche soir. Elle avait 76 ans et toujours l’envie de lutter contre l’injustice, les inégalités, le racisme. Elle venait de chanter pour soutenir Roberto Saviano, l’auteur du film Gomorra, menacé de mort par la Mafia napolitaine. Le concert se déroulait dans la commune italienne où six immigrés africains et un Italien avaient été abattus, en septembre, dans des conditions encore obscures.
Miriam Makeba est née à Johannesburg, le 4 mars 1932, d’une mère Swazi et d’un père Xhosa. Elle se chauffe déjà la voix quand l’Afrique du Sud bascule aux mains des nationalistes afrikaners en 1947. Le pouvoir la déchoit de sa nationalité pour avoir participé, en 1959, au film-documentaire Come Back Africa sur la ségrégation, réalisé clandestinement par le Sud-Africain Lionel Rogosin. Elle a 27 ans et entame alors trente et un ans d’exil et de tournées, de joies et de souffrances.
Voix convoitée du groupe The Manhattan Brothers, Miriam Makeba décroche le succès avec Pata Pata, en 1962, une chanson reprise notamment par Sylvie Vartan sous le titre Tape Tape. En 1965, elle est la première femme noire à obtenir un Grammy Award, partagé avec le chanteur Harry Belafonte pour leur disque commun, An Evening with Harry Belafonte and Miriam Makeba. Quatre ans plus tard, elle épouse Stokely Carmichael (divorce en 1973), l’un des chefs des Black Panters américains, figure controversée de la lutte pour les droits civiques. Cela vaudra à la chanteuse des ennuis avec la justice américaine.
Elle doit s’exiler, encore, vers des terres amies. Elle obtiendra un titre de citoyenneté honoraire dans dix pays, dont la France. Et c’est avec un passeport français qu’elle est retournée en Afrique du Sud en 1991, à la demande de Nelson Mandela. Dans son album Homeland (2000), elle chante la joie d’être rentrée. « J’ai conservé ma culture, j’ai conservé la musique de mes racines. Grâce à elle, je suis devenue cette voix et cette image de l’Afrique et de son peuple sans même en être consciente », avait écrit, dans son autobiographie, celle que tout le monde surnommait « Mama Africa ».
(© Christelle GUIBERT – )

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Miriam Makeba (4 Mars 1932-10 novembre 2008)  était un chanteur de l’Afrique du Sud et militant des droits civiques. L’artiste gagnante du prix Grammy est souvent appelé Mama Afrika.

Premières années
Zenzile Miriam Makeba est né à Johannesburg en 1932. Sa mère était une Swazi sangoma et son père, décédé alors qu’elle était six, était un Xhosa. Enfant, elle chante à l’Institut de formation de Kilmerton à Pretoria, auquel elle a participé pendant huit ans.

Makeba tout d’abord fait des tournées avec un groupe d’amateur. Sa carrière a commencé dans les années 1950 avec les Frères de Manhattan, avant elle a formé son propre groupe, les Alouettes, chantant un mélange de mélodies de jazz et traditionnels d’Afrique du Sud.

En 1959, elle a dansé dans la musique King Kong aux côtés de Hugh Masekela, son futur mari. Si elle était un artiste d’enregistrement réussie, elle recevait seulement quelques dollars pour chaque séance d’enregistrement et aucune redevance provisoire et était désireux d’aller aux États-Unis. Sa pause est venu quand elle avait l’apparence d’une court invité dans l’anti – l’apartheid documentaire Come Back, Afrique en 1959, par le cinéaste indépendant Lionel Rogosin. La courte cameo ont fait une énorme impression sur les téléspectateurs et Lionel Rogosin a réussi à organiser un visa pour elle de quitter l’Afrique du Sud et d’assister à la première du film au Festival de Venise.

Exil

Makeba s’est ensuite rendu à Londres où elle rencontre Harry Belafonte, qui lui a aidé à obtenir l’entrée et à la renommée aux États-Unis. Elle a publié bon nombre de ses plus célèbres hits il notamment « Pata, Pata », « Song cliquez sur le » (« Qongqothwane » en Xhosa) et « Malaika ». En 1966, Makeba a reçu le Prix Grammy pour Meilleur enregistrement de folk avec Harry Belafonte, pour Une soirée avec Belafonte/Makeba. L’album traite le sort politique des sud-africains noirs sous l’apartheid.
Elle a découvert que son passeport en Afrique du Sud a été révoqué lorsqu’elle a essayé réintégraient en 1960 pour les funérailles de sa mère. En 1963, après de témoigner contre l’apartheid devant les Nations Unies, sa nationalité en Afrique du Sud et son droit de retourner dans le pays ont été révoqués. Elle a eu des neuf passeports,  et a obtenu la citoyenneté honoraire de dix pays. 
Son mariage avec le militant des droits civiques Trinidad et Comité de coordination non violente des étudiants leader Stokely Carmichael dans la controverse de 1968 causés aux États-Unis et son enregistrements des transactions et visites ont été annulés. À la suite de cela, le couple s’installe à la Guinée, où ils sont devenus étroite avec le Président Ahmed Sékou Touré et son épouse.  Makeba séparé de Carmichael en 1973 et il a continué d’exercer principalement en Afrique, en Europe et en Amérique du Sud. Elle figurait parmi les artistes africains lors du match de Rumble dans la jungle 1974 entre Muhammad Ali et George Foreman, qui s’est tenue au Zaïre. Makeba a également servi comme délégué guinéen à l’Organisation des Nations Unies, pour lequel elle remporte le prix de la paix Dag Hammarskjöld en 1986.
Après la mort de sa fille seule Bongi Makeba, en 1985, elle s’installe à Bruxelles. En 1987, elle fait de Paul Simon Graceland tournée. Peu de temps après, elle publie son autobiographie Makeba : mon histoire (ISBN 0-453-00561-6). 

De retour en Afrique du Sud

Nelson Mandela persuadé son retour en Afrique du Sud en 1990. En novembre 1991, elle a un aspect invité dans un épisode de The Cosby Show, dans l’épisode « Olivia Comes Out Of The Closet ». En 1992, elle joue dans le film Sarafina!, sur les 1976 soulèvements de jeunes de Soweto, comme mère du personnage, « Angelina. » Elle a également pris part dans le documentaire 2002 Amandla!: une révolution en harmonie Four-Part où elle et d’autres rappelle l’époque de l’apartheid.

Le 16 octobre 1999, Miriam Makeba a été nommé Ambassadeur de bonne volonté de l’ alimentation et l’agriculture (FAO) de l’Organisation des Nations Unies.  En janvier 2000, son album, intérieure, produit par Cedric Samson et Michael Levinsohn  a été mis en nomination pour un Grammy Award dans la catégorie « Best World Music ».  En 2001 elle a reçu la Gold Otto Hahn Médaille de la paix par l’Organisation des Nations Unies Association d’Allemagne (DGVN) à Berlin, « pour des services exceptionnels à la paix et de la compréhension internationale ». En 2002, elle partage le Prix de musique polaire avec Sofia Gubaidulina. En 2004, Makeba a été voté 38e dans Top 100 grand sud africains. Makeba a commencé une tournée d’adieu dans le monde en 2005, organiser des concerts dans tous ces pays qu’elle s’est rendu au cours de sa vie de travail.
Son publiciste note que Makeba avait subi « arthrite grave » pendant un certain temps. 
Elle et les membres de la famille étaient basés à Northriding, de Gauteng, au moment de son décès.

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 Mort
Le 9 novembre 2008, elle devient malade tout en participant à un concert organisé à l’appui d’écrivain Roberto Saviano dans sa position contre la Camorra, une organisation de mafieux locale de la région de la Campanie. Le concert a été détenu à Castel Volturno, près de Caserta, Italie. Makeba a subi une crise cardiaque après son chant hit « Pata, Pata » et a été prise à la clinique de la « Grande Pineta » où les médecins n’ont pas reprendre son. 

Discographie 
Albums studio
Miriam Makeba : 1960 – RCA LSP2267
Les nombreuses voix de Miriam Makeba : 1960 – Kapp KL1274
Le monde de Miriam Makeba : 1963 – RCA LSP2750
Makeba : 1964 – RCA LSP2845
Makeba chante : 1965 – RCA LSP3321
Une soirée avec Belafonte/Makeba (avec Harry Belafonte): 1965 – RCA LSP3420
La magie des Makeba : 1965 – RCA LSP3512
La magnifique Miriam Makeba : 1966 – mercure 134016
Tous les propos de Miriam : 1966 – mercure 134029
Miriam Makeba en concert! : 1967 – reprise RS6253
Pata, Pata : 1967 – reprise RS6274
Makeba! : 1968 – reprise RS6310
Vivre à Tokyo : 1968 – reprise SJET8082
Garder Me In Mind : 1970 – reprise RS6381
Une promesse : 1974 – RCA YSPL1-544
Vivre À Conakry – Appel A L’Afriqu : 1974 – Sonodisc SLP22
Miriam Makeba & Bongi : 1975 – Sonodisc SLP48
Vivre à Paris : 1977 – CD6508
Pays Girl : 1978 – Sonodisc ESP165518
Comme Une Symphonie d’Amour : 1979
Digium : 1988 – Warner Bros., 25673
Welela : 1989 – Gallo CDGSP3084
Yeux le demain : 1991 – Gallo CDGSP3086
Chante la chanson Me A: 1993 – CDS12702
Patrie, 2000 – Putumayo PUTU1642
La Collection définitive, girelle Records – 2002
De la petite enfance, girelle Records – 2002
Vivre à Berns hits, Stockholm, Suède, 1966 : 2003 – Gallo Music GWVCD-49
Reflétant, 2004 – Gallo Music GWVCD-51
Makeba Forever, 2006, Gallo Music CDGURB-082
[Modifier] Compilations
La Reine de la musique africaine – 17 chansons grands, 1987
Enregistrements de 1960-1965 Afrique, 1991
Yeux le demain, 1991
Le meilleur de Miriam Makeba & les Alouettes : enregistrements de 1956-1959, 1998
Mama Africa : The Very Best Of Miriam Makeba, 2000
Les années de la Guinée, 2001
La Collection définitive, 2002
Le meilleur de la petite enfance, 2003

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( 4 novembre, 2008 )

Byron Lee -Décédé

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 Byron Lee -Décédé

Byron Lee

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Biographie OD Byron Lee, JO  (né Byron Aloysius St. Elmo Lee, 27 juin 1935, Christiana, Manchester, Jamaïque, est décédé le 4 novembre 2008, à Kingston, en Jamaïque) est un musicien, producteur de disques et entrepreneur, mieux connu pour son travail comme chef de file de Byron Lee et le Dragonaires
Biographie
Lee est né à Christiana dans la paroisse de Manchester à une mère Afro-Jamaïque et d’un père chinois (un enseignant de langue) à l’origine de Kowloon, Hong Kong.  Sa mère était Auchtembeddie, où mento et junkanoo étaient des formes musicales populaires et sa famille a activement maintenu les traditions culturelles et musicales de leurs ancêtres africains.  La famille s’installe dans la région de Mountain View jardins de Kingston lorsque Lee était environ 8 ou 9.  Il a appris à jouer le piano dans une école de Mandeville, mais mis la musique en attente lorsqu’il est devenu un membre de l’équipe jamaïcaine de football.  Il enseigne lui-même à jouer basse sur un instrument de fabrication artisanale, et autour de 1950, avec son ami Carl Brady, il forme la première incarnation de la Dragonaires, nommé d’après l’équipe de football du Collège qui ils ont joué, à ce moment-là, se concentrant sur le mento. La bande professionnels en 1956 et est devenus une des bandes ska leaders de la Jamaïque, poursuit depuis et dans les autres genres comme calypso, SocA et MAS. 

En fin de 1959 ou de 1960 Byron Lee sait ont introduit la basse électrique à la Jamaïque. Cependant, la raison Lee ont commencé à utiliser le électrique basse par opposition à son homologue monologue n’avait rien à voir avec son. Plutôt, c’était un moyen de Lee éviter de transporter la mise sur pied basse, grande et lourde, le camion passer de gig de gig. La guitare basse rapidement gagné en popularité dans tout le pays et est rapidement devenu la norme. Plus fort, plus clair de la basse électrique et plus votre visage sonore bientôt changé tout son de la musique jamaïcaine entièrement, surtout après Skatalites bassiste Lloyd Brevett a pris un goût pour elle.

Lee a également travaillé comme producteur, d’entre les singles ska par The Maytals, production et ses compétences en entrepreneuriat conduit à lui mise en place de la tournée De Byron Lee Show spectaculaire, qui comportait plusieurs actes jamaïcaines (y compris The Maytals) tournée des Caraïbes. Il est aussi devenu le chef de la distribution en Jamaïque pour Atlantic Records. Lee a acheté les studios d’enregistrement de West Indies Records Limited (WIRL) de Edward Seaga après que incendie a détruit l’usine de pressage sur le même site et rebaptisé Dynamique Sounds, avoir bientôt une nouvelle usine de pressage construite sur le site. Il devint rapidement un des studios mieux équipés dans les Caraïbes, attirer les deux artistes locaux et internationaux d’enregistrement, notamment Paul Simon et les Rolling Stones.  Les productions de Lee comprennent Boris Gardiner Reggae Happening, Hopeton Lewis de liquidation sur la vie et Le producteur ‘ « Johnny Too Bad ».  Dynamique agit également comme l’un de la Jamaïque grands distributeurs Records.

Lee a inauguré en 1990, ce qui est devenu un événement annuel, le Carnaval de Jamaïque Byron Lee, qui s’est tenue sur le chemin de printemps constant et assisté par des centaines de milliers de personnes qui unissait les résidents « uptown » et « centre-ville » de Kingston, un événement que Lee appelle « le moment le plus heureux dans ma vie ».  Lee avait effectué avec le Dragonaires à carnavals autour des Caraïbes depuis le milieu des années 1970 et a choisi l’emplacement pour le Carnaval attirer les fêtards de toutes les classes de la Jamaïque, indiquant « le plus gros problème est que la plupart des Jamaïcains dit il marcherait, qu’il n’est pas un pays de carnaval, mais je persiste parce que j’ai cru qu’il. J’ai voulu carnaval d’aller au public. Vous aviez toujours autres carnavals qui ont eu lieu principalement l’intérieur, où les personnes devaient payer pour obtenir. Je suis allé au peuple et choisissez Half-Way arbre où uptown et répondre au centre-ville. C’est où la route restera ».  Alors que dans les premiers jours de ska, Lee a été créditée à prendre dans les ghettos et lui donnant un appel entre la Jamaïque « uptown » – et supérieur-classes moyennes, il a été crédité de prendre soca dans la direction opposée, popularise un genre qui auparavant seulement été jouissait en Jamaïque parmi les classes supérieures, avec la classe ouvrière de le île. 

Lee a manqué le Carnaval de la Jamaïque en 2007 qu’il recevait un traitement pour le cancer de la vessie après une intervention chirurgicale en Floride et n’est plus apparu sur scène avec le Dragonaires, même s’il était toujours impliqué dans la gestion de la bande et a participé avec le festival de nouveau en 2008. Un concert a eu lieu en son honneur le 30 juin 2007, pour célébrer ses 50 ans dans l’industrie de la musique, avec des artistes effectuant notamment des survivants du cancer collègues Myrna la Haye et Pluto Shervington.  Produit s’est rendu à la société du cancer de la Jamaïque. 

Lee a reçu l’ Ordre de la distinction en 1982, mis à jour au niveau du commandant le 15 octobre 2007, en reconnaissance de sa « contribution dans les domaines de musique et de divertissement tant à l’échelon local et international ». 

En octobre 2008, après avoir reçu le traitement pendant plusieurs semaines en Floride, Lee retourné à dépenser ses derniers jours en Jamaïque. Lors d’une cérémonie à l’hôpital de l’Université des Antilles le 26 octobre 2008, il a reçu l’ordre de la Jamaïque (JO).  Lee est décédé le 4 novembre 2008, âgé de 73 ans.  Dans une déclaration, le jour de la mort de Lee, a déclaré le premier ministre de la Jamaïque, Bruce Golding, « la Jamaïque et du monde, a perdu un autre pionnier de la grande musique avec l’adoption ce matin de Byron Lee, un des plus grands leaders bande jamais pour les stades de divertissement du monde ». 

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( 10 août, 2008 )

Isaac HAYES-Décédé

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 Isaac HAYES-Décédé

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Isaac HAYES

Biographie de Isaac HAYES :
Acteur, Artiste, Chanteur, Compositeur et Musicien (Américain)
Né le 20 août 1942
Décédé le 10 août 2008 (à l’âge de 65 ans)

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Isaac Hayes (Covington, Tennessee, États-Unis, 20 août 1942 (1942-08-20) — Memphis, Tennessee, 10 août 2008 [1]) était un chanteur et compositeur de soul, ainsi qu’un acteur américain.

Les parents d’Isaac sont morts durant sa tendre enfance, ses grands parents l’ont élevé. Il a commencé à chanter à 5 ans et appris tout seul à jouer du piano de l’orgue et du saxophone. Il a déménagé à Memphis pour pouvoir jouer dans le circuit des clubs de la ville. Il fut membre de différents groupes, notamment Sir Isaac And The Doo-dads, les Teen Tones et Sir Calvin And His Swinging Cats. En 1962, il commença à enregistrer des chansons pour divers labels locaux. En 1964 il signe chez Stax Records. Isaac travaille avec le saxophoniste des Mar-Keys, Floyd Newmann et remplaça de temps en temps Booker T. Jones.

Après avoir joué quelques sessions pour Otis Redding, Isaac s’associe avec David Porter et le duo donna le jour à des succès de Sam and Dave tels que Hold On I’m Comin, Soul Man and When Something Is Wrong With My Baby. Ils écrivirent la chanson B-A-B-Y pour Carla Thomas, et les arrangements des I Had A Dream et I Gotta Love Somebody’s Baby de Johnnie Taylor. Isaac et David formèrent le groupe Soul Children afin de servir de médium pour leur qualité de songwriting. En 1967, Isaac relance sa carrière avec l’album Presenting Isaac Hayes. Hot Buttered Soul suivit deux années après. The Isaac Hayes Movement et To Be Continued suivirent en 1970, puis Black Moses en 1971. Le film de la blaxploitation Shaft sortit aussi cette année, le titre phare devint un énorme hit à la fois dans les charts Pop et R&B cette année, jusqu’à atteindre la 1re place. Cette chanson fut reprise plus tard par Eddy And The Soul Band en 1985, et atteint la 13e place dans les charts anglais. D’autres BO de film suivirent dans le genre de Tough Guys en 1973 et Truck Turner en 1974 (dans lequel il assure lui même le rôle principal).

Isaac quitta Stax Records en 1975 après des litiges sur les royalties, et monta son propre label Hot Buttered Soul, et fit faillite l’année suivante. Il signa chez Polydor et Spring. En 1977, le double-album A Man and a Woman, enregistré avec Dionne Warwick, manifesta un redémarrage de sa carrière. En 1979 une collection de duos avec Millie Jackson, nommé Royal Rappin’s sortit. Il produit également l’album Here’s My Love pour l’artiste Linda Clifford la même année. Isaac sortit une paire d’albums solo, en 1980 avec And Once Again et en 1981 avec Lifetime Thing. La même année, Isaac fait une apparition dans le film de John Carpenter, New York 1997, en tenant le rôle du « Duc de New-York ».

Musicalement, Isaac a fait une pause de cinq ans avant de réapparaître sur le devant de la scène avec Ike’s Rap, un single qui a fait le Top 10 U.S. R & B, tiré de l’album U Turn. Il sort Love Attack deux ans plus tard, avant de remettre de côté la musique pour se concentrer sur sa carrière d’acteur.

En 1995, Isaac se convertit à la scientologie. Il sort la même année deux albums Branded et l’instrumental Raw and Refined. Sous le nom officiel de Nene Katey Ocansey I, il sert la famille royale du Ghana.

En 1997, il accepte de doubler la voix de Chef, dans la série télévisée d’animation South Park. Il quitte la série en 2005 suite au conflit l’opposant aux producteurs sur la scientologie, après avoir participé à 9 saisons.

En 2000, 29 ans après la sortie de Shaft, Isaac retravaille sur une nouvelle version de l’original avec la sortie d’un nouvel épisode de Shaft. Ce film tourne autour du détective, joué par Samuel L. Jackson qui reprend le rôle anciennement tenu par Richard Roundtree. En 2001, il soutient Alicia Keys en tant que musicien et arrangeur sur son premier album Songs in A minor.

En 2005, il joue comme invité le rôle d’un jaffa dans la série télévisée Stargate SG-1.

Il est décédé le 10 août 2008 à l’âge de 65 ans à son domicile à Memphis, au Tennessee suite à des problèmes cardiaques[2].

Discographie

* Presenting Isaac Hayes (Stax/1968)
* Hot Buttered Soul (Stax/1969)
* The Isaac Hayes Movement (Stax/1970)
* To Be Continued (Stax/1970)
* Shaft (Stax/1971)
* Black Moses (Stax/1972)
* Joy (Stax/1973)
* Live At Sahara Tahoe (Stax/1973)
* Tough Guys (Stax/1974)
* Truck Turner (Stax/1974)
* Chocolate Chip (H.B.S./1975)
* Disco Connection (H.B.S./1976)
* Groove a Thon (H.B.S./1976)
* Juicy Fruit (Disco Freak) (H.B.S./1976)
* A Man and a Woman (Isaac Hayes & Dionne Warwick) (H.B.S./1977)
* New Horizon (Polydor/1977)
* For the Sake of Love (Polydor/1978)
* Hotbed (stax/1978)
* Don’t Let Go (Polydor/1979)
* And Once Again (Polydor/1980)
* Lifetime Thing (Polydor/1981)
* U-Turn (Columbia/1986)
* Love Attack (Columbia/1988)
* Branded (Pointblank/1995)
* Raw & Refined (Pointblank/1995)

Filmographie

Compositeur

* 1971 : Shaft, les nuits rouges de Harlem (Shaft), de Gordon Parks
* 1974 : Truck Turner & Cie (Truck Turner), de Jonathan Kaplan
* 1974 : Les Durs (Uomini duri), de Duccio Tessari
* 1976 : Salut Bruce Lee, bonjour le tigre (Exit the Dragon, enter the Tiger), de Tso Nam Lee
* 1980 : Les Blues Brothers (The Blues Brothers), de John Landis (chanson « Hold on I’m Comin’
») (non crédité)
* 1986 : Soul Man, de Steve Miner
* 1992 : Les Blancs ne savent pas sauter (White Men Can’t Jump), de Ron Shelton (chanson « I
Take What I Want »)
* 2000 : Shaft, de John Singleton (« Thème de Shaft ») (non crédité)
* 2003 : Kill Bill volume 1, de Quentin Tarantino (à partir des films Les Durs et Truck Turner &
Cie)
* 2004 : Kill Bill volume 2, de Quentin Tarantino (à partir du film Les Durs)

Acteur

* 1973 : Wattstax, de Mel Stuart : lui-même
* 1974 : Truck Turner & Cie (Truck Turner), de Jonathan Kaplan : Mac « Truck » Turner
* 1974 : Les Durs (Uomini duri), de Duccio Tessari : Lee
* 1981 : New York 1997 (Escape from New York), de John Carpenter : Le Duc de New York
* 1985 : Agence tous risques (The A-Team) – Saison 4, épisode 6 : C.J. Mack
* 1985 : Rick Hunter (Hunter) – Saison 2, épisode 22 : Jerome Typhoon Thompson
* 1987 : Deux flics à Miami (Miami Vice) – Saison 4, épisode 5 : Holiday
* 1988 : I’m Gonna Git You Sucka, de Keenen Ivory Wayans : Hammer
* 1991 : Guilty as charged, de Sam Irvin : Aloysius
* 1993 : CB4, de Tamra Davis : Le propriétaire
* 1993 : La Revanche de Jesse Lee (Posse), de Mario Van Peebles : Cable
* 1993 : Sacré Robin des Bois (Robin Hood: Men in Tights), de Mel Brooks : À vos souhaits
* 1994 : Les Contes de la Crypte (Tales from the Crypt) – Saison 6, épisode 5 : Samuel
* 1994 : Le Prince de Bel-Air (The Fresh Prince of Bel-Air) – Saison 5, épisode 18 : Ministre
* 1994 : Milliardaire malgré lui (It Could Happen to You), d’Andrew Bergman : Angel
* 1996 : Illtown, de Nick Gomez : George
* 1996 : Flipper, d’Alan Shapiro : Shériff Buck Cowan
* 1997 : Six ways to sunday, d’Adam Bernstein : Bill
* 1997 : Uncle Sam, de William Lustig : Jed Crowley
* 1997-2005 : South Park : Chef (voix anglaise)
* 1998 : Blues Brothers 2000, de John Landis : The Louisiana Gator Boys
* 1999 : South Park, le film : Plus long, plus grand et pas coupé (South Park: Bigger Longer &
Uncut), de Trey Parker : Chef (voix anglaise)
* 1999 : Ninth Street, de Tim Rebman : Tippytoe
* 1999 : Les Dessous de Veronica (Veronica’s Closet) – Saison 3, épisode 9 : Lui-même
* 2000 : Dead Dog, de Christopher Goode : Lui-même
* 2000 : Piège fatal (Reindeer Games), de John Frankenheimer : Zook
* 2000 : Shaft, de John Singleton : Mr. P (non crédité)
* 2001 : Dr. Dolittle 2, de Steve Carr : Possum (voix anglaise)
* 2001 : Chelsea Walls, d’Ethan Hawke : l’homme dans l’ascenceur (non crédité)
* 2002 : Fastlane – Saison 1, épisode 1 : Détective Marcus
* 2004 : Stargate SG-1 – Saison 8, épisodes 16, 17 et 18 : Tolok
* 2004 : Only the Strong Survive, de Donn Alan Pennebaker : Lui-même
* 2004 : Dream warrior, de Zachary Weintraub
* 2005 : Hustle & Flow, de Craig Brewer : Arnel
* 2005 : Stargate SG-1 – Saison 8, épisode 18 : Tolok
* 2007 : Return to Sleepaway Camp, de Robert Hiltzik : Charlie

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( 21 juin, 2008 )

Oliver De Coque-Décédé

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 Oliver De Coque-Décédé

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Oliver De Coque

Nom de naissance Oliver dimanche Akanite
Né 14 Avril 1947.
Origine Nnewi Sud, Anambra, Nigeria
Mort 21 Juin 2008.
Genres Highlife
Professions chanteur, auteur-compositeur, producteur
Années actives 1965-2008
////////////////

Oliver De Coque est un nom de ménage dans le cercle de la musique nigériane. Bien que beaucoup pense qu’il n’est pas du Nigeria en raison de son nom populaire qui a un français penche, l’homme, qui a démarré musique 39 ans avec Ekpili à l’âge de 17 ans, salue effectivement de Ezinifite, Nnewi Local gouvernement régional d’Anambra Etat sud. Son vrai nom est Oliver dimanche Akanite.

À l’âge de 28 en 1976, Akanite a enregistré un monument remarquable avec ses paroles universellement acceptées et les ryhthms dont il a créé par le biais de son Super Ogene de l’Afrique. Les albums, il a publié dans le passé jusqu’à la date de 26 ans sont des occurrences dans la mesure où son plus grand succès; KA anyi bili être ndu vendu à deux millions d’exemplaires. Après sa prestation musicale stupéfiante, il a commencé à recevoir des prix et distinctions, du Nigeria et au-delà. Dix ans, le Alaafin de Oyo, Oba Lamidi Adeyemi lui couronné la musique du roi de Highlife.

Dans le même 1994, loin d’Amérique, il a été conféré avec le docteur honorifique de lettres en musique à l’Université de Nouvelle-Orléans. Chez soi, le titre plus élevé dans sa terre, Ikemba, un même titre qui a été légué le Seigneur de guerre Biafra, faible Emeka Ojukwu, a été donné à Akanite dans sa ville, Ezinifite.

Musique Highlife, Akanite a sculpté un créneau pour lui-même avec sa marque Ogene. Sa est un highlife qui gardera les ventilateurs éveillé tant il joue. Il peut en toute confiance avec sa formation couvrant trois maîtres, joue de la guitare et même utiliser pour sauvegarder n’importe quel musicien.

Arrière-plan
Je suis chef (Dr) Oliver dimanche Akanite de Ezinifite, zone de gouvernement Local Nnewi du Sud, Anambra état. J’ai eu mon éducation primaire à l’école Saint Simon, Ezinifite j’ai procédé à l’Institut du commerce du Niger, ABA où j’ai étudié le français, le maintien de l’ouvrage et comptabilité où j’ai passé les examens de la Royal Society of Arts. Je suis maintenant 57 ans. Je suis marié à l’âge de 20 ans. Ma première fille est désormais 39 ans. J’ai d’autres enfants et de nos petits-enfants. Certains d’entre eux sont en Europe et réussie dans différents efforts. L’un d’eux est un pilote tandis que d’autres sont dans plusieurs autres professions.

Comment j’ai commencé ?
J’ai démarré en premier avec musique Igbo appelé Ekpili à l’âge de 17 ans. C’était en 1965. Nous étions deux seulement, Alexander Emelumonye et moi-même. Nous avons utilisé à chaque week-end sur Channel 4 de l’ABA nigérian Television Authority, Ogbor Hill. J’ai appris aussi chaussure commercial, alors que nous avons attendu pour les représentations du week-end.

Oliver De Coque

En 1970, après la guerre civile, je me suis rendu à ABA à la recherche d’un emploi. J’ai rencontré un bon ami, Obed Okoroafor, de Mbaise. Il est un bon congarist. J’étais un bon guitariste et le chanteur. J’ai décidé d’arrêter la musique locale entièrement et recherchez quelque chose de plus grand que la musique Ekpili. Ainsi, nous deux cherchiez quoi faire. Nous avons rencontré une bande musicale, Sunny Agaga et sa bande Lucky Star qui provenaient de Lagos à jouer dans l’ABA.

Ils étaient sur le point d’effectuer et j’ai abordé le leader de la bande, Sunny Agaga. Je lui ai dit que nous voudrions fonctionnalité avec eux, et que, si possible, il pourrait employer nous, (Obed comme son congarist et moi-même, le guitariste). Il a dit qu’il ne serait pas répondre me, mais que je dois venir lorsqu’elles sont prêtes à effectuer. Alors qu’il était temps, nous sommes allés il. Il m’a donné la guitare, j’ai commencé à sauvegarder, alors que la musique changée je suivis et m’automatiquement employées par le soleil. Parce qu’il avait de bonnes tambours, il ne voulait pas Obed, mais j’ai plaidé avec lui. Il a convenu d’employer de lui, puis après la visite, nous avons procédé à Lagos. Je n’avais jamais été à Lagos avant et lorsque nous sommes arrivés, j’ai vu l’électricité partout, même dans les rues. Nous sommes allés à Alara Street, Onike, Yaba, derrière Queens College. Il n’y n’avait aucun spectacle pour environ trois semaines. J’étais inquiet, jusqu’à ce que nous avons effectué quelque part. Je me dit que ces personnes ne sont pas des affaires-like.

J’ai commencé à la recherche d’une autre bande. Heureusement, j’ai rencontré Jacob Oluwole et sa bande convivial de l’unité. Je suis allé à eux à Oshodi. I a été interviewé et ai employée. Ils m’ont également un hébergement. Comme à l’époque, ils préparaient pour un enregistrement avec le titre, Agbasisi. Nous avons enregistré il et il est devenu un succès et les discours de la ville.

Plus tard, j’ai commencé à remarquer qu’ils n’étaient pas aussi convivial et unie comme leur nom impliqué. Ils quarreled, soutient et combattu beaucoup. Je n’aime pas les personnes qui sont quarelsome, parce que la musique ne va pas avec les combats et la désunion. Comme un musicien, votre devoir est de divertir les gens. J’ai commencé à avoir un changé d’avis quant à mon séjour avec eux. Heureusement, j’ai rencontré un autre musicien, Sule Agboola et sa bande de Star du clair de lune. Ils sont préparent pour une tournée d’été de l’Europe. C’est en 1973. Ils m’ont eu un passeport et un visa. Nous avons laissé Nigeria le 13 juillet 1973. Nous étions à Londres et effectuée uniquement le week-end. Donc, j’ai pu obtenir un emploi à temps partiel que j’ai payé 80 livres par semaine. Nous étions à Londres pour quatre mois. J’ai utilisé l’argent que j’ai tiré de mon travail d’acheter deux guitares, deux amplificateurs et un ensemble de fûts. C’était en préparation pour mon propre bande. Lorsque nous avons renvoyé, j’ai dit le chef de bande que j’avais sur mon propre, mais que s’ils avaient tout spectacle ou un enregistrement, il doit appeler m’aider.

Progrès / le Messie, le Messie
En 1974, je compose un numéro, le Messie, le Messie. Il y avait cinq pistes dans tous. Je suis allée Hu Olatunde Yusuf. Il a été président de Olumo Records Limited. Je lui ai dit que j’avais besoin d’argent pour faire une chasse de talent. Je suis allé autour de certains clubs nite certains musiciens bons de prélèvement. J’ai commencé des répétitions avec eux. Je rappeler que notre dernière journée de simulation était général Murtala Muhammed a été renversé. Personnes sont exécutaient helter skelter et il y avait couvre-feu. En fait, c’est ce qui fait que cet enregistrement est très remarquable. Lorsque nous avons fait l’enregistrement, il était merveilleux et Olumo dit que c’était agréable, qu’il allait wax pour lui donner une touche professionnelle. Il a pris la bande maître du Messie, le Messie et il cirée. Lorsqu’il est sorti, il vendu plus de 50 000 exemplaires. C’était la première impression. Il a été le discours de la ville. Il était populaire, est, Ouest, Nord et même Côte d�Ivoire, Congo, Togo et Cameroun. Beaucoup de gens a déclaré Qu’oliver De Coque est du Cameroun, tandis que certains dit que j’étais du Congo. C’est parce que l’enregistrement a été un succès.

J’ai acheté les trois véhicules neufs et employés des trois pilotes en une journée. Lorsque nous sommes arrivés au Bénin, tandis que sur notre façon de mon village, mon peuple a généré une partie et collectées par mes fans et j’ai joué la musique pendant cinq heures. Puis à Onitsha, ceux qui avaient écouter de la musique ont été réjouissances lorsqu’ils virent me. Arrivée à mon village, c’était jubilation partout parce qu’ils avaient été entendre la musique partout où à qu’ils sont allés. J’ai continué à faire des progrès im ma carrière musicale, mais le prochain album, Igwebuike, n’a pas été un succès, tout comme un tiers.

Mes coups.
En 1979, lorsque je suis arrivé avec People�s Club Ka anyi bili être ndu (People�s Club nous faire profiter de nous-mêmes), deux millions d’exemplaires vendus. En fait, c’était mon plus grand hit. C’est de là que les personnes arrêtés douter si je suis un nigérian, un Camerounian ou un congolais. Il y avait beaucoup de Igbo idiomes et proverbes avec des significations très profondes qui me dépeint comme un homme Igbo typique. Le lyric a été fantastique, melody était correct, la guitare était sur une vitesse supérieure et l’arrangement de la musique a été effectuée par des professionnels. J’ai suivi avec une identité qui était un buster graphique, puis les Ugbana qui était un autre graphique buster, spécial Pâques, Obele nwa n�ame iri enu, qui étaient tous les coups. En 1990, il y a un autre point d’exclamation, Ethernetun enwe obodo enwe, suivie de Nnukwu mmanwu, Bili kam bili en 1992.

Inspiration
Je peux appeler moi-même un musicien naturellement talentueux. Rien ne s’inspire d’un musicien de talent. C’est tout comme un scientifique né, ce qui ne rentre pas loin des idées dans son cerveau. Ce qu’il pense sur toujours est de savoir comment inventer quelque chose et un musicien né pense trop comment créer de la musique. Il ne pense pas d’argent, car lorsqu’il crée, l’argent sera certainement venir. Par exemple, si vous parler de n’importe quel titre maintenant et dites-moi pour vous donner la musique, je composera il immédiatement. Je ne dois pas dire je pense dessus ou me donner deux mois pour moi de proposer quelque chose.

Cela montre que je suis né en musique. Naturellement, j’aime la musique, et il jouer régulièrement. Je n’ai pas de n’importe quelle autre entreprise. Je ne pense pas à propos de la politique, plutôt j’admire les politiciens. Je ne pense pas à propos de journalisme car il n’y a rien je peux faire pour écrire plus de journalistes. Mais lorsque vous écrivez, j’ai lu.

Couronne highlife
Ils étaient tous venant comme ça dans la mesure où, en 1994, j’étais couronné la musique du roi de Highlife par le Alaafin de d’Oyo, Oba Lamidi Adeyemi. Il a dit qu’il avait suivi mon cohérence dans l’arène highlife et disent que je méritait d’être appelé le roi de Highlife.

Doctorat en musique
Université de Nouvelle-Orléans m’a donné Docteur de lettres en musique. C’était dans la même 1994. J’ai plusieurs autres prix de musique.

Ikemba
L’année 2001, le Igwe de Ezinifite, la Reuben Ananti et son cabinet attribué me le titre le plus élevé dans la terre, Ikemba Ezinifite. Je suis membre de Nze na Ozo dans-Conseil. Ce titre est basé sur le mérite. J’ai trop titres partir d’autres emplacements.

Tournée vers l’Europe
Je vais bientôt à l’Europe. Je sera là pour deux mois, jouer en Autriche, en Suisse, aux pays-bas, Allemagne, Italie et tant d’autres pays.

Guerre civile
Pendant la guerre civile nigériane, je ABA à gauche et revint à ma ville à se joindre à l’armée. Pas joindre comme un soldat, mais je me seulement écouter de la musique pour les soldats et les divertir. Je suis allé tour les camps de l’armée avec ma musique. Nous étions dans Otuocha, Omoku, Igboariam et de nombreuses autres endroits.

Jeu de guitare
J’ai appris comment jouer de la guitare lorsque j’ai rencontré heureusement parmi les meilleurs guitaristes en Afrique, Mr.Piccolo. Il est du Congo. Il m’a appris comment jouer de la guitare. Il allait bien réglé par m. Euphraim Udo d’état de la rivière Cross. Une autre personne était m. Paul Odogwu, qui a salué d’Onitsha. Ainsi, trois maîtres m’a appris comment jouer de la guitare, et c’est pourquoi je suis aujourd’hui un guitariste de maître. Je peux sauvegarder tout artiste de toute partie du monde aujourd’hui, quel que soit le langage qu’il utilise pour chanter

Osita Osadebe
J’ai parcouru un long chemin. J’ai commencé à jouer en 1976, qui est maintenant de 27 ans. Il faut environ 86 albums mon crédit. Cela signifie beaucoup pour écrire et produire des 86 albums et dans chaque album, vous avez environ sept pistes. Je crois que Osadebe a démarré avant moi. Je respecte lui pour qu’et son âge. Deux d’entre nous ont été très cordiales. Il y avait jamais eu un temps que nous quarreled avec notre musique ou tout autre lieu. Lorsque vous écoutez sa musique, vous savez que Osadebe est chantant et quand vous entendez mine, vous savez Qu’oliver joue. Je n’ai pas le temps de querelles. Il est des seules les personnes qui n’ont rien de grave faire qui ont le temps de querelles. Si nos supporters pense que deux d’entre nous battre, il n’y a rien comme ça. Le Osadebe vous parlent ? Il fut un temps que nous avons effectué ensemble à Lagos, Ibadan et Onitsha. À Atani que nous habillés dans notre costumes ensemble dans sa chambre, est entrée dans le même véhicule pour aller et effectuer dans Onitsha. Il y a quelques mois, que nous étions ensemble à Wole Soyinka�s nuit organisé par Globacom à

Golden Gate Restaurant, Ikoyi. Comme Lagbaja s’effectuait, je lui ai dit en chef, nous devons saisir la scène et faire quelque chose. Nous avons fait et comme nous l’avons chant, Lagbaja était sauvegarde nous. Après le spectacle, nous montait dans le même véhicule à son hôtel. Il m’a dit que le lendemain il roulait vers l’Amérique. Je lui ai donné un message pour mon frère à Los Angeles. Dès qu’il a obtenu aux États-Unis, il a appelé à moi pour me dire, puis il m’a plus tard qu’il avait livré mon message à mon frère. Après avoir entendu tous ces, vous voyez pourquoi j’ai demandé si c’est le même Osadebe que je connais. Sauf s’il y a un autre. Mais le Osadebe je sais qui salue le Nigeria est même avec moi et dans le même état d’Anambra, nous n’avons aucun problème.

Autres musiciens.
Il n’y a aucun musicien dans ce pays, avec que je n’ai pas de bonnes relations. En fait, il n’existe aucun musicien nigérien, je n’ai pas son contact de numéro de téléphone et address.You leur nom : Daddy Showkey, Charley Boy, Zakky, Lagbaja, Dede Mabiaku, Sam Okposo, Alex Onome, Chris Mba, Paul Dairo, Shuaibu Deen, Bright Chimezie, Makosa Queen, Evang. Ebenezar Obey, Christie Essien Igbokwe, Onyeka Onwenu, Tony une semaine, Steeve Ikemefuna, Dan Maraya Jos et d’autres. Si je veux tous les musiciens au Nigeria pour assembler dans les dix minutes je peux les contacter dans un court délai. C’est l’essence même de l’unité. Je les canulars pas avec qui.

Public
Je joue pour tous : hommes, femmes, vieux, jeunes, riches et pauvres, intellectuels, évêques, pastors et rois. Je suis un musicien professionnel. Si vous me payez, vous obtenez votre réception et je venir jouer ma musique pour vous.

Message
Lorsqu’un musicien est cordiale et Pacifique, le message provient. Il a été fait pour moi. Je fais des précisions dans mon message particulièrement afin qu’il sera explosive et l’auditoire il comprendra clairement. Je laisse les gens savent que dans ce monde, ce qui doit être, doit être, aussi longtemps qu’ils croient en Dieu. Ainsi, personne ne peut effacer son destin, quel que soit le type de savon ou éponge, qu’il utilise.

Mon genre de musique
Je joue la musique Highlife. J’ai à la position d’un roi dedans selon le le Alaafin de Oyo. J’ai taillé mon modèle dans le genre highlife que j’appelle Ogene. Cela m’a donné une identité dans la scène highlife. Lorsque vous écoutez mon highlife, vous remarquerez qu’il n’est pas lent. Je n’aime pas les gens dormir où je joue. J’ai mis des personnes sur le plancher de danse lors de la lecture. Comme vous la danse, le message vous inspirera. Donc je mélange ma musique à moderniser highlife. Selon moi, c’est pourquoi beaucoup de gens comme mon nom music.The de ma bande Oliver la Coque et que son Expo� 76, son Ogene super de l’Afrique.

Né encore Christian/prêcher
Je suis un partisan. Oubliez la publicité mises sur cette question chrétienne à nouveau née aujourd’hui. J’ai été un né à nouveau chrétienne pour le passé que j’ai commencé la musique de 27 ans. Personnes annoncer leur. Ils séparent des autres. J’ai été un prédicateur puisque j’ai commencé la musique. La différence entre un pasteur et moi-même est qu’il prône en parlant, tandis que je prêcher en chantant. Si vous écoutez tous mes paroles depuis 1976, il n’y a aucune piste que je compose sans mentionner de Dieu. Changer people�s vie pour de bon.

Appel de nom
Je éloge pas dans ma musique, parce qu’ils ont d’argent. Certaines personnes ont l’argent, mais ils n’ont pas contribué à leur société. Ils n’ont jamais donné bourses aux étudiants, leurs villages manquent d’eau, ils ne peuvent pas creuser au moins un forage pour eux, mais ils appellent eux-mêmes moneybags. Ils pensent que la seule façon de montrer qu’ils ont de l’argent est pour Oliver faire l’éloge de leur. Je ne mentionnent pas les noms de ces personnes dans ma musique je éloge uniquement ceux qui contribuent à la croissance de la société qui d’autres peuvent émuler.

Emeka Ojukwu
Lorsqu’il revenait de Côte d�Ivoire, j’ai publié un album de l’accueillir. C’était pour stimuler son moral. Imaginez quelqu’un laissant sa terre depuis longtemps comme ça. Il est quelqu’un de très importants et important de chaque homme Igbo. Il est le leader Igbo que personnes plaise ou non. En fait, il est un vrai leader naturel. Les gens comme lui viennent une fois par siècle. La vérité indéniable est qu’il est admiré par tous les Nigérians. S’il va à la population du Nord il sait qu’il est autour. Si il s’agit de l’Ouest, sa présence doit être ressentie. À l’est, il est accueilli chaleureusement. Il fut créé naturellement comme ça. J’admire pour cela. Il fut nommé Ikemba par sa communauté comme j’ai fait Ikemba par ma communauté. Je ne sais pas pourquoi le roi de ma ville a choisi de me donner ce titre. Il n’est pas une question d’argent parce que ces titres ne sont pas achetés avec de l’argent.

419
La plupart des personnes qui se sentent j’appeler le nom des gens riches et m’associer 419 sont simplement jaloux. La vérité est qu’Oliver a fait. Où étaient ces personnes lorsque j’étais mendicité jouer de la musique avec d’autre bande people�s. Laissez-les demander mon Dieu pourquoi mon premier enregistrement a été un succès à l’âge de 26 ans. C’était vraiment une première impression. J’ai fait de mon jeunes jours. Rien de tel 419, c’est juste que lorsqu’il y a progrès, il est lié à être jalousie. Comment qu’ils identifient les 419 gens. ? Je sais que la bonne voie à suivre dans la vie. Dans ma communauté, je suis un membre du Conseil Ozo. Il s’agit de montrer comment ils me considèrent dans la ville. J’ai toujours été dans la bonne voie de vie. J’ai ici un siège social dans Yaba. Si vous avez besoin de mon service, vous me payez, je délivre vous de réception, vous me donnez le lieu, la date et l’heure de l’événement, puis je vais venir et jouer pour vous. Il n’existe aucune partie du monde que vous demandez de m’et personnes ne donnera pas un bon témoignage sur ce nom Oliver De Coque. Rome a été construit pas en un jour. Il m’a fallu temps de construire le nom. Vingt-sept ans de carrière n’est pas une blague. Lorsqu’ils ont dit Qu’oliver peut-être être prélevé pour 419, j’ai ri. Je vous dire la vérité, personne ne peut choisir Oliver pour cela. Je dois vous dire une chose ; Dieu est avec moi et j’ai été partie de lui. Si Oliver va être arrêté pour quelque chose, que c’est lorsqu’ils démarrent l’arrestation des personnes pour sa réussis musiciens au Nigeria, puis je serai le premier à être arrêté.

Mon barbe / pourquoi De Coque
C’est quand j’ai commencé la musique Ekpili que j’ai appelé Oliver et son co-Singers.That est Oliver et son entreprise. Et lorsque les gens sont allés crazy sur ma musique qu’ils m’ont appelé Oliver De Coque. Donc lorsque je formé ma bande en 1976 j’ai décidé de conserver, parce que j’ai senti que c’était bon. Je ne sais même pas le sens. Certains disent que ça sonne comme le français et qui est pourquoi beaucoup dit que je suis originaire du Congo. Mon barbe est naturelles. J’ai commencé à avoir l’âge de 17 ans. L’essence de heards est soit vous raser ou les conserver. C’est vous ranger par tout rasage ou vous laissez et les maintenir. Mais si vous ne pouvez pas maintenir, utiliser des lames de rasoir et éradiquer. Donc, parce que je sais que je peux faire mine neat, il faut laisser et mes fans apprécient.

PMAN
Le problème de PMAN sera définitivement réglé. Avez-vous jamais entendu que Charley Boy tué Tony Okoroji ou vice versa ? Nous verrons à tout. Charley ressemble à un jeune frère me, même Okoroji. Laissez les ont des tribunaux de 1000, nous allons régler il. Nous sommes tous les borthers. Il y a rien de tel que la paix. Et je vous assure que la paix est règne dans PMAN. Il n’a rien à craindre sur.

Musiciens à venir
Tout jeune artiste qui veut jouer la musique doit vivre une vie debout. C’est ce que nous appelons �born again� maintenant. Il existait avant nous étions né. Nos ancêtres sont nés à nouveau, qui était la raison pour laquelle ils ont été dressées. Ils ne pas s’engager dans les mauvaises choses ni prévue de mal pour quiconque. C’est pourquoi ils ont vécu depuis longtemps. Pour un jeune musicien au progrès, il a apprendre à gérer un ou deux instruments. Il pouvait apprendre à jouer la guitare, clavier, tambour avant il parle de la voix. Tout le monde peut gérer le microphone et chanter quoi que ce soit. Chercher à Lagbaja, il joue saxophone et commandes sa propre musique. Je fais guitare et commande ma musique trop. Sunny Ade est un guitariste et chanteur ; il compose sa musique. Aussi évangéliste Ebenezer Obey, qu’il est chanteur et guitariste. Osita Osadebe est un trompettiste et chanteur. La vérité est que, si vous apprenez à manipuler les instruments, vous chantera pas désactiver beat.

Composition de musique d’apprentissage.
Lorsque vous souhaitez composer sur la touche G, vous appliquez un dégradé votre musique à cette clé. Puis vous dire les instrumentistes sauvegarde vous pour accéder à cette clé. Si vous dites C, octave, chacun d’entre eux iront there.When vous dire F, plat, ils seront y aller. En procédant, vous gagnez le respect en montrant que vous connaissez votre musique et comment manipuler les clés. Laissez les jeunes pencher et apprendre et pas seulement passer d’un club de nuit à l’autre. Après l’apprentissage, vous pouvez envisager de la fusion avec du chant.

Bande vivant
J’ai joué dans de nombreux endroits à la fois dans et en dehors du Nigeria. J’ai joué plusieurs fois dans Aso Rock. J’ai joué pendant COJA, en fait il y a presque tout ce que le gouvernement fédéral est au Nigeria que je ne suis pas invité. Il s’agit d’événements que la plupart des dirigeants du monde entier serait présents au. Au Festival International de musique de Los Angeles, j’y étais. J’ai joué dans les spectacles où il y a plus de 60 000 fans assis. Il existe également des grands musiciens qui viendront à ces spectacles.

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MANO RCI 

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( 10 mai, 2008 )

RAPHA BOUNZEKI. -Décédé

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CONGO-BRAZZAVILLE : MORT SURPRISE DU MUSICIEN

« LARI-KONGO » RAPHA BOUNZEKI.

Paix à l’âme de notre artiste Rapha Bounzeki.

Loin de partager l’idée de la sapologie  qui rythmait parmi les valeurs de l’artiste, Rapha Bounzeki était aussi une personne immense aux dimensions humaines.

Rapha Wapoungou est un nom sympathique qui témoigne l’attachement de l’artiste à N’Zambia poungou, culture très répandue dans l’ère culturelle Kongo, du sud du Congo-Brazzaville, du sud de la RDC et du nord de l’Angola, l’artiste était donc immense dans la croyance à la transcendance divine.
L’artiste avait un style particulier , un mélange harmonieux Lari-Kongo et Lingala, dont les notes musicales ont fait vibrer les congolais et lorsqu’il chante les souffrances dans la région du pool, la fuite des populations civiles dans la forêt :

c’est un chant d’amour qui nous fait pleurer, tant au niveau de la tristesse, qu’au niveau de l’espoir du peuple Kongo martyrisé par les mêmes, depuis l’assassinat du cardinal Emile Biayenda, de l’ancien président Massamba-Débat et d’autres encore.

C’est un chant d’amour, qui nous fait, aussi, réfléchir sur le génocide et les crimes contre l’humanité perpétrés par le clan du Président Sassou N’Guesso pour des raisons ethniques et prétendues appartenance au soutient d’un parti, le MCDDI.

L’artiste créateur de la sapologie était engagé a poursuivre les autorités congolaises pour escroquerie de ses droits d’auteur, Il était parmi les malheureux expulsés de l’aéroport de la ville de pointe-Noire qui ont perdu leurs maisons, achetées de leurs sueurs, sans être indemnisé, par le régime de Sassou N’Guesso.

L’artiste né le 04 août 1961 à Brazzaville, nous a quitté le 10 mai 2008, à la suite d’une hypertension, l’ayant entraîné à une crise cardiaque au Centre Hospitalier Universitaire de Brazzaville, en république du Congo-Brazzaville. Il nous laisse une œuvre musicale, contribuant à l’enrichissement de la culture Kongo.

Toutes mes condoléances à toute la famille de Rapha Bounzéki, encore une fois, paix à son âme.
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Auteur : Appolinaire Noël KOULAMA

Publication : 12 mai 2008

Rubrique : Congo-hommage

Source : Infopagecongo.oldiblog.com

Note :

(1) La sapologie est la science qui étudie l’art de savoir s’habiller, elle dérive des mots « sape et sapeur ».

Paix à son âme et amour pour ses proches.

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( 13 février, 2008 )

Henri Salvador-Décédé

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 Henri  Salvador-Décédé

Henri Gabriel Salvador, né à Cayenne en Guyane, le 18 juillet 1917
Décédé mort à Paris le 13 février 2008 (à 90 ans), est un chanteur, compositeur et guitariste de jazz français. Outre la grande longévité de sa carrière (des années 1930 à sa mort), Henri Salvador est un personnage marquant de la musique française. Ses chansons populaires restent fredonnées par des générations de Français : Syracuse ; Maladie d’amour ; Le Loup, la Biche et le Chevalier (Une chanson douce) ; Dans mon île  ; Le Travail c’est la santé ; Zorro est arrivé.

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Avec Sacha Distel, il est le seul chanteur français de variété à figurer dans le Dictionnaire du Jazz.

Il repose au cimetière du Père-Lachaise à Paris, non loin d’Édith Piaf.

Biographie
Son père Clovis et sa mère Antonine Paterne, fille d’une amérindienne caraïbe, sont tous deux natifs de Guadeloupe : son père de Morne-à-l’Eau et sa mère de Port-Louis. Le 16 août 1929, à l’âge de 12 ans, il débarque du paquebot Pérou au Havre en compagnie de toute sa famille[5]. Il a une sœur, Alice, et un frère, André, avec lequel il chantait en duo au début de sa carrière, et avec qui il fit les beaux jours du Jimmy’s à Paris et à Biarritz. Son frère André Salvador fut Grand prix du Disque 1947 pour Hey-ba-ba-re-bop avec l’orchestre d’André Ekyan].

Henri Salvador est par ailleurs le père biologique du photographe Jean-Marie Périer (fils adoptif de François Périer). Les circonstances de la rencontre entre Jean-Marie Périer et son père naturel sont relatées dans son autobiographie Enfant gâté.

Il se marie en 1940 avec une jeune corse, Lili Susini, qui l’accompagnera pendant son périple sud-américain avec l’orchestre de Ray Ventura jusqu’à son retour en France en 1945. Il se remarie avec Jacqueline Garabédian en 1950. Après la mort de sa seconde épouse en 1976, Henri Salvador se remarie en mai 1986 avec Sabine de Ricou de qui il divorcera en 1995.

Le musicien
En 1933, il obtient ses premiers engagements dans des cabarets parisiens. Ses talents de musicien mais aussi d’humoriste le font connaître et apprécier du public. En 1935, il joue au Jimmy’s Bar, cabaret renommé de l’époque. Django Reinhardt l’engage alors comme accompagnateur.

En 1941, il fuit la France où la guerre s’étend. Il n’y reviendra qu’après la capitulation de l’Allemagne. De décembre 1941 à décembre 1945, il fait partie de l’orchestre de Ray Ventura lors de son séjour en Amérique du Sud — Brésil, Argentine, Colombie, Uruguay, etc. Il y exerce ses talents de guitariste-chanteur et de comique avec une imitation de Popeye. C’est là qu’il connaît son premier succès personnel, « sauvant » la première soirée de l’orchestre de Ray Ventura au casino d’Urca (Rio de Janeiro) par son imitation de Popeye puis l’interprétation de Maladie d’amour[9]. Il participe en 1949 au film Nous irons à Paris de Jean Boyer aux côtés de l’orchestre de Ray Ventura, des Peter Sisters, de Martine Carol et d’autres vedettes de l’époque.

En 1949, il obtient le grand prix du disque de l’Académie Charles-Cros et passe à l’ABC, le temple des music-halls parisiens, dans la revue de Mistinguett Paris s’amuse. C’est là qu’il rencontre Jacqueline, qui devient son épouse et son imprésario.

Par la suite, devenu chanteur, il fit toujours en sorte de combiner sur ses albums chansons très fantaisistes et chansons douces, bien que le grand public se montre plus enthousiaste sur les premières, tandis que la concurrence était sévère dans le domaine des secondes (André Claveau, Georges Ulmer, etc.).

Le chanteur populaire
Sous le pseudonyme d’Henry Cording, il chante, en 1956, les premières chansons de rock ‘n’ roll[10] en français, écrites par Boris Vian et composées par Michel Legrand, et par lui-même (Rock Hoquet). Il s’agit en fait de parodie de ce nouveau style de musique venu d’Amérique. Parallèlement il enregistre un 45-tours à la guitare jazz intitulé Salvador plays the blues.

C’est en débutant dans l’Orchestre de Ray Ventura qu’Henri Salvador révèle ses qualités d’interprète et de fantaisiste. Il y fait la rencontre déterminante de Bernard Michel et Maurice Pon avec qui il écrira de nombreux succès : Le Loup, La Biche et Le Chevalier (communément appelée « une chanson douce »), Le travail, c’est la santé, Dans mon île, Croqu’Soleil, Les Bestioles… La complicité de Bernard Michel et Henri Salvador engendre plus de quarante-cinq ans de créations artistiques fructueuses, telles que : Ah Ah Ah, Ma Doudou, Twist SNCF, Zorro est arrivé, Minnie, petite souris, Tout ça, c’est pas grave, Monsieur Boum Boum, J’étais une bonne chanson, Une Femme d’affaire, Pauvre Jésus Christ, Le Voyageur, Une Blonde en Or, Les Aristochats, C’est pas la joie, J’aime tes genoux etc.

Sa carrière prend un tournant dans les années 1960, en grande partie grâce aux émissions de variétés de Maritie et Gilbert Carpentier, dans lesquelles il interprète des chansons humoristiques qui le consacreront comme chanteur populaire : Faut rigoler, Juanita Banana etc. Il obtient même, en première partie de soirée, sa propre émission intitulée « Salves d’Or », qui connaîtra plusieurs éditions.

Supporter du Paris Saint-Germain depuis le début des années 1970, Henri Salvador possédait quatre abonnements à vie au Parc des Princes depuis l’ère Hechter. Le club était en effet dans une mauvaise passe financière et Daniel Hechter a demandé à ses amis de mettre la main à la poche. En contrepartie de 10 000 francs de dons, Hechter a offert un abonnement à vie au Parc pour tous les matches du club. Henri Salvador en prit quatre.

En 1975, il participe au conte musical Émilie Jolie, écrit par Philippe Chatel, dans lequel il incarne le conteur et interprète trois chansons, dont l’une avec Françoise Hardy et Émilie Chatel.

Certains de ses innombrables succès ont été repris sur disque par d’autres artistes, en particulier le Loup, la Biche et le Chevalier (plus connu de tous sous le titre Une Chanson Douce). Enzo Enzo ou Thierry Gali, entre autres ont repris ce titre dans leurs albums, à destination d’un jeune public. De 1971 à 1975, il participe, avec bonheur, à plusieurs séries de variétés pour la jeunesse produites sur la Première Chaîne de télévision par Gilbert Richard. Notamment, il compose et interprète l’indicatif de son émission du mercredi après-midi : « Papa Tête en l’Air ».

Éclipse et rebond
Sa carrière connait une éclipse dans les années 1980 et 1990. Il passe même alors auprès des jeunes pour un musicien « ringard » et la télévision ne le montre plus. Le chanteur se consacre alors surtout à la pétanque dont il est un joueur de haut niveau[12]. Il publie un album de bande dessinée sur le sujet, Passion… Pétanque[13], et invente même des boules : une première série est commercialisée d’abord par le fabricant JB, puis il dépose trois brevets pour la boule de haute technologie « VMS Plot ».

En 2000, Keren Ann et Benjamin Biolay sous la houlette d’un jeune producteur Marc di Domenico et de Philippe Ulrich qui lui offrent l’occasion de revenir au sommet avec son disque Chambre avec vue et son titre phare : Jardin d’hiver. La collaboration avec Benjamin Biolay s’envenime quelque temps plus tard.

Henri Salvador s’est également prêté au doublage de films d’animation, en prêtant sa voix en 1989 au crabe Sébastien dans La Petite Sirène, des Studios Disney. En 2006, à l’occasion de la sortie DVD du film, il réenregistra également les dialogues de sa suite, La Petite Sirène 2 : Retour à l’océan, dialogues confiés à un autre comédien sur la version originale de 2000.

Parolier pour de nombreux artistes, notamment pour Régine, Sheila, il a fait connaître au grand public Keren Ann. Plusieurs musiciens, comme Laurent Voulzy, Gabriel Yared, Eddy Mitchell et Art Mengo, ont composé pour lui.

Il chante en duo « le Monde Comme Un Bébé » avec la chanteuse africaine Angelique Kidjo en 2004.

Son dernier album, intitulé Révérence, sort fin octobre 2006. Il met fin à sa carrière active lors d’un dernier spectacle donné au Palais des congrès de Paris le 21 décembre 2007.

Entre les deux tours de l’élection présidentielle française de 2007, Henri Salvador a participé à un meeting de soutien à Nicolas Sarkozy[16], au cours duquel il a pris la parole en faveur de son candidat.

Il meurt le 13 février 2008 d’une rupture d’anévrisme à son domicile parisien, place Vendôme, à l’âge de 90 ans. Sa dernière émission enregistrée sera celle de Laurent Baffie sur Europe 1, enregistrée quelques jours avant sa mort et diffusée le dimanche 10 février 2008. Ses obsèques ont eu lieu le 16 février 2008 en l’église de la Madeleine à Paris, avant qu’il ne soit inhumé au cimetière du Père-Lachaise.

Récompenses

Précédé de :
-M- Victoire de la musique de l’artiste interprète masculin
2001 Suivi de :
Gérald de Palmas

Victoire d’honneur de la musique en 1998.
Prix du disque 2000 de l’Académie Charles-Cros pour l’ensemble de sa carrière le 28 novembre 2000.
Il reçoit deux Victoires de la musique en 2001 : celle du groupe ou artiste interprète masculin de l’année et celle de la chanson de l’année pour Jardin d’hiver. Il recevra en outre la Victoire du meilleur spectacle l’année suivante.
Le 8 novembre 2005 Henri Salvador est décoré à Brasilia, il est fait grand-croix de l’Ordem do Mérito Cultural (Ordre du mérite culturel) brésilien qu’il reçoit des mains du chanteur et ministre de la Culture Gilberto Gil et en présence du président Luiz Inácio Lula da Silva pour son apport à la diffusion hors des frontières de la culture de ce pays, en particulier la bossa nova qu’il aurait contribué à inventer[18],[19].
Henri Salvador était aussi commandeur de la Légion d’honneur, de l’Ordre national du Mérite et de l’Ordre des Arts et des Lettres.
Médaille d’or de l’Académie française en 2001.
Discographie
Albums
1947 : Maladie d’amour
1955 : Henri Salvador chante ses derniers succès, Polydor (Le loup, la biche et le chevalier, Maladie d’amour, Clopin-clopant, etc.)
1956 : Henri Salvador alias Henry Cording and his original Rock and roll boys, Philips
1957 : Sous les tropiques, Philips (Adieu foulards, adieu madras, Oh si y avait pas ton père, etc.)
1959 : Chanté par Henri Salvador, Barclay
1960 : Salvador s’amuse, Barclay (Blouse du dentiste, Gondolier, Moi j’préfère la marche à pied, etc.)
1962 : Succès, Philips/Salvador (Le lion est mort ce soir, Twist SNCF, etc.)
1963 : Henri Salvador, Philips/Salvador (Minnie petite souris, etc.)
1964 : Zorro est arrivé, Rigolo
1965 : Le travail c’est la santé, Rigolo
1967 : Henri Salvador, Rigolo (J’étais une bonne chanson, Enfoncez vous ça dans la tête, Claire, ma secrétaire, etc.)
1968 : Salvador, Rigolo (Une chanson douce, Quand faut y aller, faut y aller, etc.)
1969 : Henri Salvador, Rigolo
1972 : Le Petit poucet, Rigolo
1977 : Salvador 77, Rigolo
1978 : Henri Salvador, Rigolo
1979 : Salvador/Boris Vian, Rigolo
1980 : Salvador en fête, Rigolo
1985 : Henri, Pathé Marconi
1989 : Des goûts et des couleurs, Pathé Marconi
Les voleurs d’eau – Je ne le dirai pas – La dernière danse – Pense Henri – Blues dingue – Donne, donne – Des goûts et des couleurs – Où, quand, comment – Tu es entrée dans mon âme – Debout dans un hamac.
1994 : Monsieur Henri, Sony Music
Qu’ça saute – En plantant des navets – Qu’est-c’que j’aime – Layla – J’ai dû faire le con quelque part – La main au cul – Vas-y mollo – Pieds palmés – Yes or no – Rock Hoquet – Envie de toi.
2000 : Chambre avec vue, Virgin
Jardin d’hiver – Chambre avec vue – J’ai vu – Il fait dimanche – La Muraille de Chine – Jazz Méditerranée – Un tour de manège – Vagabond – Je sais que tu sais – Mademoiselle – Le fou de la reine – Faire des ronds dans l’eau – Aime-moi.
2002 : Performance ! (Enregistrement public), EMI
Bonjour et bienvenue – Il fait dimanche – Qu’elle est con – Mademoiselle – La Muraille de Chine – Quoique l’on fasse – J’ai beaucoup trop envie de toi – Chiche – Tu es entrée dans mon âme – Oléo – Duke, Basie, Louis – All I really want – Syracuse – Jardin d’hiver – Le loup, la biche et le chevalier – Avec le temps – Bonsoir amis.
2003 : Ma chère et tendre, EMI
Ma chère et tendre – Vous – C’était un jour comme les autres – Le voyage dans le bonheur – Toi – J’ai tant rêvé – Quand un artiste – Sans toi – Ailleurs – Itinéraire – Tu es venue – Bormes-Les-Mimosas – Dans tes yeux.
2006 : Révérence, V2
La vie c’est la vie – Mourir à Honfleur – Dans mon île – Cherche la rose – L’amour se trouve au coin de la rue – Tu sais je vais t’aimer – J’aurai aimé – Italie (un tableau de maître) – D’abord – Les amours qu’on délaisse – Alléluia ! je l’ai dans la peau – Les dernières hirondelles – Tu sais je vais t’aimer.
En collaboration avec les éditions Walt Disney
1971 : Les Aristochats, Rigolo
1973 : Blanche-Neige et les Sept Nains, Rigolo
1974 : Robin des Bois, Rigolo
1975 : Pinocchio, Rigolo
1976 : Le Monde rose et bleu d’Henri, Rigolo
1990 : La Petite Sirène, dans le rôle de Sébastien
45 tours
Philips 432.736: Le lion est mort ce soir/Twist SNCF/Dis, dis, dis/Twist de l’enrhume
Philips 432.828: Sherry/Le chercheur d’or/Le voyageur/Purée de pommes de terre
Philips 432.868: Retour au porteur/Dis-moi que tu m’aimes/Va-t-en vite mon amour/Minnie, petite souris
Philips 432.919: Monsieur Boum Boum/Surs de nous/Grosse fille pleure pas/Coeur brisé à prendre
Rigolo 18.717: Avec la bouche/Madame tristesse/Le petit clown/Zorro est arrivé
Rigolo 18.733: La danse de Zorba/Loin sur les grands chemins/Tant qu’il y aura des filles sur la terre/Sophia
Rigolo 18.734: Le travail c’est la santé/Dis, Monsieur Gordon Cooper/Bouli-bouli/Hula-Hula
Rigolo 18.739: Juanita Banana/Caroline/Soleil blanc/Avant
Rigolo 18.741: Quand faut y aller faut y aller/Je bois à ton souvenir/Socialement parlant/Trois roues à mon chariot
Rigolo 10.082: Petit Lapin/La vallée

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Filmographie

Tombe d’Henri Salvador au cimetière du Père Lachaise (Paris). La date de naissance à l’état civil est bien 1917, et non pas 1918 comme indiqué par erreur.1948 : Mademoiselle s’amuse de Jean Boyer avec Gisèle Pascal, Ray Ventura
1950 : Nous irons à Paris de Jean Boyer avec Ray Ventura, Françoise Arnoul, Philippe Lemaire
1952 : Nous irons à Monte-Carlo de Jean Boyer avec Ray Ventura, Françoise Arnoul, Christian Duvaleix, Albert Duvaleix, Jackie Sardou.
1956 : Bonjour sourire de Claude Sautet avec Louis de Funès, Annie Cordy, Jean Carmet, Jimmy Gaillard, Darry Cowl, Christian Duvaleix,
1958 : Nuits d’Europe d’Alessandro Blasetti avec Domenico Modugno, les Platters,
1962 : Accroche toi, y a du vent de Bernard Roland avec Francis Blanche
1962 : Tartarin de Tarascon de Francis Blanche avec Michel Galabru, Jacqueline Maillan
1962 : Un clair de lune à Maubeuge de Jean Chérasse avec Claude Brasseur, Mathilde Casadesus, Jacques Dufilho, Sylvie Vartan*
1966 : Les malabars sont au parfum de Guy Lefranc avec Sophie Agacinski, Francis Blanche, Darry Cowl, Roger Pierre, Jean-Marc Thibault
1970 : Et qu’ça saute de Guy Lefranc avec Roger Carel, Michel Creton, Jean-Pierre Darras, Michel Galabru, Paul Préboist
Bibliographie
Henri Salvador (dessins de Marcel Uderzo), Passion… Pétanque, Éditions Archives, Paris, 1976, 40 p. (ISBN 2709614987)
Henri Salvador, Attention ma vie, Éditions Jean-Claude Lattès, Paris, 26 octobre 1994, 314 p. (ISBN 2709614987)
Télévision
1999 : Crimes en série (téléfilm), apparition aux côtés de Pascal Légitimus.

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